Je ne veux pas être heureuse, juste arrêter d'être malheureuse

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Darkness
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Enregistré le : lundi 09 février 2009 19:49

Je ne veux pas être heureuse, juste arrêter d'être malheureuse

Message par Darkness »

Oui, je vois, mais fait attention à toi malgré tout, ne te laisse pas descendre trop bas, c'est vraiment dur de s'en sortir seule, heureusement tu as ton ami, mais si tu penses avoir besoin d'un personne de plus, faudra songer à voir quelqu'un, mais pas facile de conseiller qui, vu que tu n'es pas à l'aise avec tes profs, et que tu ne sens pas parler avec ton infirmière

Sinon, il y a le cmp aussi, comme on en a déjà parlé, ce sont des gens qui peuvent te mettre plus à l'aise, qui ont l'habitude de tout ca, donc avec qui tu pourrais peut-être parler avec plus de facilité

Sinon comment ça se passe aujourd'hui ? Comment tu te sens ?
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choucoulate
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Enregistré le : samedi 07 mars 2009 17:29

Message par choucoulate »

Et bien, ma journée à été un peu plus horrible que la précédente dans un sens. Les 3 première heures de cours je me suis totalement isolé et je n'parlais à personne: jusqu'à c'que mon ami vienne me passer un "savon" parcque j'déprimais dans mon coin, il m'a donc forcé à venir avec eux, j'étais présente mais pas totalment, c'est bisard mais c'est comme si leur joie me dérange, je m'sentais mal à l'aise. Finallement il n'y a plus qu'avec mon ami que j'arrive encore à tenir une vrai discussion, et j'avoue que depuis que je lui ai tout raconté nous sommes bien plus proche mème s'il me comprend pas vraiment et m'engueule lorsqu'il voit que je m'en suis de nouveau pris à mes bras ...
Je m'vois m'éloigner de jours en jours des gens de ma classe mais j'essaie de faire le maximum d'effort pour ne pas totalement m'enfermer dans ma buller et pour ne pas perdre mon ami. Des fois, quand il essai de me rassurer et m'aider, j'ai l'impression que je déprime pour rien; il me dis de m'en balancer de mon père et de ma famille, que tout c'qui compte c'est de m'amuser, sortir rigoler avec mes "amis" et bosser les cours. Quand je l'écoute ça parait si simple à faire... pourtant j'en suis incapable.
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Darkness
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Enregistré le : lundi 09 février 2009 19:49

Message par Darkness »

C'est normal ça tu sais, quand on se sent vraiment pas bien, la joie des autres est parfois dure à vivre, ca n'est pas du tout de l'égoïsme, c'est uniquement notre mal-être qui nous fait ressentir ca

Entre la théorie et la pratique, il y a une différence énorme, facile de se dire ce qu'il faut faire, plus difficile de le faire, on passe tous par là

Mais si déjà tu fais des efforts pour ne pas trop t'enfermer, c'est déjà bien, il faut continuer, quand même te garder des petits moments seule, ca peut faire du bien, mais pas trop, il faut de la compagnie, même si elle est parfois dure à supporter
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Darkness
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Enregistré le : lundi 09 février 2009 19:49

Message par Darkness »

Coucou choucoulate

Comme ça fait longtemps que tu n'as plus donné de nouvelles, je viens te faire un petit coucou, j'espère que les choses se passent bien pour toi, et que tu donneras encore un peu de tes nouvelles,
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choucoulate
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Enregistré le : samedi 07 mars 2009 17:29

Message par choucoulate »

Bonsoir,

voilà un petit moment que je n'étais plus venu donner de mes nouvelles.
J'ai encore du mal à réaliser, mais je me sens remonter la pente tout doucement. Une semaine que je n'ai plus touché à mes bras, je mange un peu plus normalement et j'arrive à sourrir. Moi qui pensais ne plus jamais ressentir un quelconque sentiment, celui qui me fait face est bien celui qui je m'attendais le moins: l'amour. Mon fameu ami et moi nous nous sommes énormémenr rapproché ces dernières semaine, enfin vous voyez ce que je veux dire. Je sais que ce n'est pas ça qui va arranger mes problèmes qui sont toujours présents (scolaires et familiales) mais pour la première fois depuis bien longtemps je me sens heureuse...

Désolé d'avoir raconté ma vie, mais je voualis juste mettre tout ça par écris pour réaliser que c'est bien réel.

A bientot, bisous.
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Darkness
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Enregistré le : lundi 09 février 2009 19:49

Message par Darkness »

Content d'avoir de tes nouvelles !

Surtout des nouvelles ainsi, tu remontes petit à petit, ça fait vraiment plaisir à voir, et surtout ce sentiment là, j'espère que ça va marcher, et aboutir sur de bonnes choses

Tu as bien eu raison de venir raconter ca, j'attends la suite alors, que ça aille bien ou mal, n'hésite pas à venir parler
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choucoulate
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Enregistré le : samedi 07 mars 2009 17:29

Message par choucoulate »

Coucou darkness, je te remercie pour ton mp, c'est rassurant en un sens de savoir qu'on se souvienne de moi !

Tellement de choses se sont passés ces dernières semaines; des bonnes comme des mauvaises.
Ma situation avec mon père s'est aggravé et malgré le soutient de mon petit ami, il m'arrive de temps de temps de flancher et d'avoir des petites rechutes. Je sens qu'il m'en veux, qu'il me crois faible; sa phrase qu'il me dis dans ces moments là et qui me fais mal c'est: "Il suffit que tu te donne les moyens de réussir", celle de la semaine dernière c'était: "Tout l'monde à des problème mais ils le montrent pas et ça ne les empèche pas de sourrire", j'ai vraiment la sensation qu'il ne comprend pas. Je fais pourtant tous les efforts possible pour ètre joyeuse (du moin quand je suis à ses cotés) mais j'y arrive pas toujours. C'est une drole de sensation, sentir qu'on est dépendante d'une personne qui ne nous comprend pas... le pire c'est que c'est dans ces moments de rechute que j'ai le plus besoin de lui, or dans ces momens il a tendance à prendre ses distances et à me faire comprendre que c'est d'ma faute si je suis comme ça. J'avoue que quand je suis avec lui (or cadre lycée) j'arrive à ètre heureuse, ce qui ne m'étais encore jamais arrivé avant, mais dès que je reviens au cadre maison, je redeviens sombre, mélancolique etc
Une horrible remarque de mon proffesseur principal aujourd'hui m'a aussi vraiment vexé: "Faut savoir, y a 15 jours tu pleurnichais et maintnant t'es en extase!" (c'étais le premier prof qui était venu s'inquiéter pour moi et que j'avais envoyé "ballader" et maintenant il me sort ça sous prétexte que j'ai rigolé une fois en cours XD). Enfin bon on va dire que c'est la vie, comme mon copain me la dis tout l'monde à des problèmes. M'reste plus qu'à trouvé un ptit bout de quelque chose à me raccrocher pour ne pas le perdre à force de rechutter comme ça sistématiquement.

Enfin breff, désolé du roman, j'avais besoin de me libéré depuis le temps que je n'étais plus venu écire ici.
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claudine
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Message par claudine »

Bonsoir choucoulate,

Merci pour ta visite sur le forum

La compréhension des autres est un élément capital lorsqu'on souffre de dépression
Ce serait bien que tu te sentes soutenue par ton copain car les profs ne sont pas des soignants et il ne faut donc pas trop leur en demander . J'espère qu'il arrivera enfin à t'écouter
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Darkness
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Enregistré le : lundi 09 février 2009 19:49

Message par Darkness »

Coucou choucoulate

C'est gentil de donner de tes nouvelles

C'est dur de ne pas se sentir comprise ou aidée par la personne avec qui l'on est

Et tu as essayé de parler a ton infirmière ou trouver quelque chose à l'extérieur de l'école pour t'aider si tu as besoin de parler ?

Pas très marrant ça, et les remarques des prof, bah faut pas en prendre trop compte tu sais, c'est des êtres humains, donc peuvent être indélicat comme tout le monde
En tout cas, continue de te vider ici si ça te fait du bien, et n'hésites pas à parler de tes doutes et tes peurs
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choucoulate
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Message par choucoulate »

Bonjour!

Voilà un petit moment que je n'étais plus venu.
A vrai dire je n'aime pas vraiment l'idée de venir ici et me plaindre comme une petite fille, mais ça soulage tellement de savoir qu'on est écouté et compris.
Il y a quelques semaines j'ai fais une rechute; je me suis rouverte le bras alors que j'avais donné ma parole à mon copain de ne plus jamais le faire. Seuleument je me suis sentis tellement mal et j'étais seule que je n'ai rien trouvé d'autre. Bien entendu après la "crise" passé, j'ai aussitot regretté, me rappelant ma promesse et la stupidité de mon act. Il a finit par voir la marque laissé et m'en a énormément voulu (il a faillit tout abondonné et me quitté parce que j'ai trahis sa parole); heureusement ça ne s'est pas fait mais je n'aurai plus d'autre chance: et, aujourd'hui plus que jamas j'ai l'impression qu'il ne me comprends et ne veux pas. Je sais que lui a perdu son père il y a de ça quelques année, et parfois j'ai comme l'impression qu'il m'en veux que je haisse mon père à ce point. Mes relations avec ma mère s'empire et le dialoge devient impossible; la semaine dernière lorsqu'elle a reçu mon bulletin et à commencé à m'insulter pour mes résultats (j'avais jusque là toujours été bonne élève), j'ai alors essayé de tout lui expliquer, de lui parler de ma détresse de mois passé; mais rien, elle ne m'a mème pas laissé le temps de me justifier, pour elle ma chute viens du fait que j'ai un petit ami comme elle dit alors qu'il n'est en rien responsable, au contraire c'est lui qui m'a sortis de ça et qui, encore aujourd'hui m'empèche de faire des conneries.
Depuis hier je suis en grande vacances et j'en ai déjà marre, rien qu'à l'idée de me savoir pendant plus de 2 mois chez moi, à supporter mon père (et ma mère au passage) me rend malade. J'ai tellement peur de craquer et de me renfoncer dans ma sollitude... bien sur j'ai réussi à me ressociabiliser mais lorsqu'il y a des sortis de prévus ma mère est toujours derrière moi (ce qu'elle n'avais jamais fait), et par exemple lors des fètes organisé entre ceux de ma classe (sans alcool ni rien) je suis la seule à ne pas pouvoir rester dormir alors qu'elle sait très bien que je suis quelqu'un de responsable et qui n'a jamais fait de connerie.
Enfin tout ça pour dire que malgré ma petite remontée, je joue encore très souvent la comédie de celle qui s'en sort et va mieu alors que je me sens toujours aussi mal et désemparée. Je n'ai pas réussis à aller parlé à mon infirmière (en me persuadant que j'allais mieu et que de toute façon jamais je n'aurai le courrage de lui parler) et maintenant c'est les vacances donc trop tard; sinon je me suis renseigné pour les réunion alateen (destiné aux adolescents d'alcoolique) mais il n'y en a pas dans ma région; quant au médecin de famille, hier ma mère a été pour lui demandé si le fait que mon père devienne de plus en plus agressif pouvait venir du fait qu'il ai encore des séquelles à la tète (violenbte chute qui date du début de l'année); il s'est juste contenté de dire que ce n'étais dù qu'à l'alcool et qu'on pouvait rien faire.

J'arrète mon roman ici, désolé de raconter ma vie et de me plaindre.
A bientot
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choucoulate
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Enregistré le : samedi 07 mars 2009 17:29

Je ne veux pas être heureuse, juste arrêter d'être malheureuse

Message par choucoulate »

Bijour!

Je sais que ça fait bien longtemps que je n'étais plus venu mais je crois que j'ai besoin de me libérer un peu la concience.
Il s'est passé énormément de chose depuis la denière fois que je suis venue sur le site.
Tout d'abord j'ai définitivement foiré mon année scolaire, j'me suis de nouveau plus ou moin isolé parce que j'ai plus vraiment la force de jouer la comédie, mon ptit copain m'as quitté; d'après ses explications c'est juste parsqu'il s'est rendu compte qu'il préfèrai ètre seul sans ptite amie et puis il m'avait dis quelque jours avant c'était fatiguant d'ètre avec moi (j'me pose trop d'question, j'arrive pas à ètre heureuse etc) mais après un moi je suis toujours à m'dire que tout est d'ma faute, que si j'aurai été une fille "comme tout le monde" heureuse de vivre on serait encore ensemble. Enfin si vous avez lus mes autres messages vous savez que c'est lui qui m'a remonter de mon gouffre et que j'arrivais à controler mes dérappage grace à lui, je commençais mème à retrouver un peu de confiance en moi et en mon avenir. Je sais pas comment j'ai fais pour pas faire de grosse conneries jusque là j'ai faillis à plusieurs reprise mais j'ai réussis à me battre. Et puis pour me "motiver" j'me suis dis que si j'abondonnai maintnan ça ferait plaisir à bien trop d'gens et pis ils croiraient que c'est juste à cose de ma rupture, alors qu'en réalité c'est faux, environ 2smaines avant qu'il m'abondonne, j'étais retomber et j'avais mème penser à la quitter pour pouvoir partir de ce monde sans lui faire trop de mal. Mais une fois encore j'ai préféré penser à autres plutot qu'à moi alors j'lai pas fais et j'ai continuer d'me battre en espérant que ça finirait par passer. Depuis je suis passé par plusieur "états", du monstres sanguinaire qui a juste envie de se faire mal et en finir ou alors le zombie cloitré dans sa chambre, incapable de faire une chose "humaine" et mème bisarrement mème plus la force de s'faire saigner. Là je n'sais plus trop auquel j'appartiens, j'essaie de toutes mes force de relever la tète toute seule puisque j'ai plus personne sur qui compté, pourtant on peut pas dire que j'ai pas essayé, j'ai confier une partie d'mes problème à un bon ami (pas sur mon père, mais sur mes idées noires, mes dérappages sur mes bras, mon mal de vivre etc) mais j'me suis vite rendu compte que ça ne servait à rien, il est incapable de me comprendre, il en est aux ptites disputes "ma mère me prend la tète, ma soeur me soule" enfin des trucs du genre, rien à voir donc. Ah oui aussi depuis plus d'un moi, le début d'ma rechute en faite, je fais insomnie sur insomnie, je m'endors pas avant 5-6heures du matins (en sachant que je me lève à 8h00 à cause de mes heures de conduites). J'en ai parlé à ma mère (juste de mes pb de sommeils) et tout ce qu'elle a trouvé à me dire c'est que "c'est pas normal à mon age, c'est pas comme si j'avais des souvis dans la vie", lorsque j'ai "séché" mon oral de français et rendu feuille blanche à mon écris et qu'elle a voulu avoir des explications, j'ai essayé vraiment de tout lui avouer mais là encore elle m'a sortis une phrase type du genre "arrète à t'écouter t'es une pov' fille malheureuse, t'as pas à t'plaindre... et puis tout ça c'est depuis que t'as ton ptit copain" (si elle savait que j'lui devait la vie...); enfin bref tout ça pour vous dire que le dialogue avec ma mère est juste impossible. Quant à mon père j'en parle mème pas! Le lendemain d'ma rupture, il a fais 3crises d'épilepsies, à la 2è j'ai paniqué et appelé les pompier, là 3smaines d'hosto de nancy pis il est rentré sous forme de cadavre , il tient à peine debout, sais presque plus rien faire seul (à part picoler et aller à l'autre bout d'la ville faire ses réserves). Autant avant je le haissais, là j'en suis mème plus sur, il me fais juste pitier et me dégoutte (et me fait peur aussi parfois parcequ'il a des réactio assez vive et est plus plus violent que jamais mème si son état de légume l'empèche de me toucher).
Enfin il y a autre chose que je voulais dire, c'étais d'ailleur la raison de ma visite sur le site.
Aujourd'hui j'ai craqué, je supporte plus mes insomnie, comme sui les journées n'étaient pas assez longue il faut que je reste éveiller les nuits... j'ai été voir mon médecin de famille je m'était préparer psychologiquement à tout lui dire (enfin une bonne partie) pour qu'il m'aide et me pousse à aller voir un psy (oui ça aussi je m'y suis préparer et je crois que je suis prète)... mais la visite à été plus courte que prévue. Pendant les 2heures de la salles d'attente j'étais en train de me planter mon ongle dans ma main (qi en garde encore la trace) puiss quand viens mon tour, je rentre dans le cabinet, il me sert la main (la mienne était plus trempé que moite) et là il me demande "qu'est ce qu'il se passe?"... j'ai passé 2heures dans la salle à mréfléchir à quoi lui dire, tourner mes phrases etc et là paf plus rien, j'avais qu'une envie partir en courrant mais j'aurai pas eu la force mes jambes tremblaient un peu trop. Finallemnt je lme suis assise et je lui ai dis que j'en pouvais plus de mes insomnie etque j'avais beaucoup d'idées noire, il m'a dem sur quel sujet, j'ai dù lui dire problème familliale (alors qu'il le sait très bien c'est aussi le médecin d'mes patents et j'ai aussi évoqué ma chute scolaire. J'ai pas réussis à en dire plus, j'ai failli me mettre en larme et j'avais une énorme boue dans la gorge. Finallement il m'a juste dis que c'était "normale" et que c'étais juste une réaction émotionnelle suite à mes problèmes avec mon père. Il m'a dit qu'il fallait que je sorte au maximum avec mes amies pour sortir du contexte maison (vive le conseil comme si je l'savais pas). Et puis c'est tout, il m'a prescris des médicaments (il a refusé les somnifères et m'a juste donné une boire d'anxiolitique pour me détendre le soir avant de dormir, je pense pas que ça me servira à quoi que ce soit puisque j'ai déjà pris l'habitude de prendre les anxio volé à mon père qui sont du mème genre et me servent à rien). Quand je pense au temps que j'ai mis pour aller en parler à quelqu'un et c'que ça a donné, j'regrette amèrement, je suis encore plus déprimé, et je sais maintenant qu'on ne peux pas m'aider. Je sais pas à quoi je m'attendais en y allant, peut ètre qu'il me propose de voir quelqu'un pour en parler, qu'il s'inquiète plus au lieu de me répéter qu'il faut juste sortir m'aérer la tète. Le plus drole c'est quand il a voulu prendre ma tension (sur le bras bien amoché), je sais pas comment il a réussis à rien voir et il a mème trouver le moyen de me faire mal en me tenant le poignet, il m'a arraché une croute et quand je suis sortis je m'suis rendu compte que je saignais. Enfin voilà, désolé de vous raconter ma vie comme ça, je suis juste perdu, j'ai envie de m'en sortir mais toute seule mème avec toute la force que j'ai j'y arrive pas. A chaque fois que je crois aller mieu je rechute encore plus bas. Je sais plus quoi faire...
Si quelqu'un aurait des conseils ou n'importe quoi à me donner qui pourrait m'aider je vous écoute.

Encore désolé de mon racontage de vie lamentable, et merci à ceux qui me lirait ou me répondrait.

Bisous, à bientot!

compte que j'ai oublier de préciser 2ptites choses.
Déjà il y a quelque jours je sais pas vraiment c'qui m'a pris, j'ai bus quelque gorgée de picole à mon père qu'il cache très mal (je m'y connais pas vrm en alcool donc je sais pas si 45° c'est fort mais ça m'a fais un drole d'effet, ma gorge s'est mise à me bruler par contre j'ai eu un horrible mal de crane mais que j'ai trouvé plutot agréable car ça m'empèchais de penser.
Le 2è chose m'inquiète beaucoup, j'ai toujours su que j'avais très mauvaise mémoire, mais là je m'suis carrément rendu compte que j'ai presque pas de souvenirs, j'ai 16ans et aucun souvenir de l'époque de ma maternelle primaire, collège très très flou alors que je suis encore au lycée. Pour certaines chose c'est le trou noire et d'autre le flou complet, je m'pose beaucoup de question en c'moment et celle ci me chagrinne pas mal.
adelaide2008
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Enregistré le : vendredi 21 août 2009 22:25

Je ne veux pas être heureuse, juste arrêter d'être malheureuse

Message par adelaide2008 »

Choucoulate,

J'ai lu tes messages et j'espere que tu te sens un peu mieux depuis le mois dernier. Te lire m'a rappele de mon enfance a la maison. Je ne me suis jamais mutilee mais j'ai eu des sentiments semblables. Depuis l'age de 14 ans, je n'avais qu'une envie, partir de la maison. Ma soeur a fuguee 5 fois et est revenue a chaque fois donc fuguer n'etait pas une solution pour moi. J'ai tenu bon jusqu'au bac et j'ai travaille pour le passer du premier coup ( de justesse mais passe). Apres je suis allee en cite u et ne rentrais que le week end. Puis je me suis trouve un job en caisse pour week end et vacances pour limiter les retours et maintenant je travaille a l'etranger. J'ai toujours cette aprehension de retourner chez mes parents et generalement apres quelques heures chez eux je n'ai qu'une envie c'est de partir car a 33 ans ils me traitent tjs comme une gamine.
Je ne dis pas que ce sera comme ca avec les tiens mais tiens le coup et bosse pour reussir ton bac. Chaque fois que tu veux te faire du mal, pense d'abord a ce que tu dois faire pour t'en sortir. Te couper ne t'aidera en rien alors que ton bac si. Plus facile a dire qu'a faire hey? je sais bien, il y a plein de choses qu'on me dit que je ne fais pas.
Ca me ferait plaisir de voir un message de ta part et savoir que tout va bien pour toi.

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