Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
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- dorine
- Messages : 374
- Enregistré le : jeudi 07 septembre 2006 5:27
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
oui ca ressemble pas mal à ma vie, les AD en moins car j'ai stoppé mon traitement.
- choupette
- Messages : 4428
- Enregistré le : mardi 12 février 2008 14:42
Voilà je remonte un sujet qui date déjà pas mal.
Comme le préconise notre grand chef .faire des recherches sur les sujets déjà existant.
Et comme je me sent encore incapable de faire un sujet moi même voilà ça m'arrange.
Donc j'ai lu ces 4 pages ,mais ne m'y suis pas entièrement retrouvée.
Cette après midi on m'a diagnostiquée "hypersomniaque idiopathique"
Bon grand mot pour dire que vous êtes toujours fatiguée,ça va le faire dans les conversations ça.
Je dors bien mais je suis toujours en train de vouloir redormir.
Je ne suis plus considérer comme fatiguée a cause de la dépression.
Voilà y a t'il d'autres personnes soufrant de cette maladie.
"d'hypersomnie idiopathique"
Merci
Comme le préconise notre grand chef .faire des recherches sur les sujets déjà existant.
Et comme je me sent encore incapable de faire un sujet moi même voilà ça m'arrange.
Donc j'ai lu ces 4 pages ,mais ne m'y suis pas entièrement retrouvée.
Cette après midi on m'a diagnostiquée "hypersomniaque idiopathique"
Bon grand mot pour dire que vous êtes toujours fatiguée,ça va le faire dans les conversations ça.
Je dors bien mais je suis toujours en train de vouloir redormir.
Je ne suis plus considérer comme fatiguée a cause de la dépression.
Voilà y a t'il d'autres personnes soufrant de cette maladie.
"d'hypersomnie idiopathique"
Merci
J'ai moi aussi beaucoup de mal à quitter mon lit. Je ne me sens bien, en sécurité que dedans, à l'abri de toute cette M..... Quand je me lève, la seule chose à laquelle je pense c'est à me recoucher.
Faut dire aussi que j'ai le lit le plus confortable du monde mondial ! donc ça aide pas à se motiver.
Faut dire aussi que j'ai le lit le plus confortable du monde mondial ! donc ça aide pas à se motiver.
- Snatch
- Messages : 34
- Enregistré le : dimanche 23 novembre 2008 0:59
canapé lit, tu me donne la marque ?
Moi, j'ai beaucoup de mal à me réveiller tôt le matin quand je n'ai pas cour (ou même quand j'ai en fait)
pas la motivation, et puis souvent je me couche tellement tard que ...
(par exemple là il est minuit, dans une heure au mieux je suis couché avec demain 10h de cours et un énorme stress)
Pourquoi ne pas pouvoir dormir éternellement avec la musique qui passe en boucle ?
Moi, j'ai beaucoup de mal à me réveiller tôt le matin quand je n'ai pas cour (ou même quand j'ai en fait)
pas la motivation, et puis souvent je me couche tellement tard que ...
(par exemple là il est minuit, dans une heure au mieux je suis couché avec demain 10h de cours et un énorme stress)
Pourquoi ne pas pouvoir dormir éternellement avec la musique qui passe en boucle ?
-
- Messages : 72
- Enregistré le : lundi 18 août 2008 15:59
C'est dur de quitter son lit, surtout quand on a lutté comme un fou pour trouver le sommeil.
Je vous conseil de sacrifier faire sonner votre réveil 15 min en avance, mais pas avec une épouvantable sonnerie digne des buzzer de questions pour un champion !
Non choisissez une radio qui vous plait de préférence, allumez la lumière et laissez passer les 15 minutes en écoutant la musique tout en évitant de s'endormir.
Moi ça me permet de retrouver mes esprits et si avec un peu de chance vous tombez sur un chanson sympa, c'est d'autant plus entrainant pour se lever.
Alors ça marche ça marche pas, ça dépend des gens ! Moi j'aime bien, donc à vous de trouvez le truc qui vous tirer du lit
Je vous conseil de sacrifier faire sonner votre réveil 15 min en avance, mais pas avec une épouvantable sonnerie digne des buzzer de questions pour un champion !
Non choisissez une radio qui vous plait de préférence, allumez la lumière et laissez passer les 15 minutes en écoutant la musique tout en évitant de s'endormir.
Moi ça me permet de retrouver mes esprits et si avec un peu de chance vous tombez sur un chanson sympa, c'est d'autant plus entrainant pour se lever.
Alors ça marche ça marche pas, ça dépend des gens ! Moi j'aime bien, donc à vous de trouvez le truc qui vous tirer du lit
- senna
- Messages : 971
- Enregistré le : mercredi 27 février 2008 16:05
- Nemesis
- Messages : 1087
- Enregistré le : vendredi 27 novembre 2009 2:12
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
Ce sujet date un peu mais je m'y retrouve tellement...
J'ai commencé à faire de l'hypersomnie quand on m'a mise en internat, pensant que le fait "d'habiter dans l'école" m'aiderait à sauver mes études (parce qu'à l'époque, j'avais 14 ans, ma dépression n'était pas encore avérée pour certains et certainement pas une raison pour rater tout ce que j'entreprenais, c'était juste une crise d'adolescence un peu difficile pour ma mère et mon entourage).
Je me souviens que je m'endormais dès que les dortoirs ouvraient, je me réveillais vers une heure du matin, à avoir des pensées macabres, pour me rendormir une à deux heures plus tard. Ensuite, pendant la journée, je m'endormais profondément partout et jusqu'au soir.
C'était proche de la narcolepsie, je m'asseyais sur un banc, dans la cour glaciale, c'était la récréation, ma tête tombait et je m'endormais. Où que je sois, je m'endormais, j'étais constamment épuisée, tellement qu'on a fini par croire que j'avais une maladie du sang et proposé d'aller dormir, quand je le souhaitais, à l'infirmerie (je n'en ai jamais profité, j'avais trop honte).
J'ai fait une dépression de mes 13 ans à mes 16/17 ans, et puis j'ai eu une pause, un répit où je savais que je n'étais pas guérie mais où mes moments bas n'atteignait pas la violence de l'époque.
Récemment, j'ai replongé très violemment dedans (j'ai 21 ans) et je recommence à trop dormir.
Ce qu'il y a c'est que, quand j'allais "bien", j'avais quand même cette sorte de narcolepsie qui faisait que, à chaque coup de stress ou d'émotions trop intenses, je m'endors. Ce n'est pas de la narcolepsie, vu que je ne tombe pas d'un coup, tête la première, comme on le voit dans les documentaires, mais j'ai les yeux qui se ferment, le corps qui se détend, quasiment immédiatement et je ne peux lutter plus d'un quart d'heure, quelque soit la situation.
Ça m'a posé des problèmes en cours, quand j'ai reçu les résultats d'un examen, j'ai immédiatement plongée sur mon bureau pour me réveiller une demi-heure plus tard. Ca n'a pas plus à mon professeur, mais qu'est-ce que je peux lui dire ?
Couplé à ça, le plus dur. Cette "narcolepsie" m'arrive que j'aille bien ou mal, mais avec ma rechute récente et profonde dans la dépression, j'ai recommencé à dormir environ 15h par jour, si ce n'est plus.
Ce matin, par exemple, je n'ai pas entendu mon réveil. Réveillée à 12H, j'ai fait une crise de panique parce que j'avais un examen l'après-midi, une demi-heure pour me préparer à partir, et que je n'étais pas prête. J'ai fait une crise d'angoisse et de panique, j'ai fini par me persuader que, si j'y allais, j'allais fondre en larmes en cours et je ne voulais pas m'exposer ainsi devant tout le monde.
Je suis restée chez moi et suis partie me recoucher à 17H, après avoir tenté de résister à une fatigue monstre, pour me réveiller à 20H. (1)
Je me sens merdique dans ces moments-là, mais je ne peux pas faire autrement.
Là, je devrais faire un devoir pour un professeur et lui envoyer par mail, histoire de me faire pardonner de mon absence, mais rien que l'idée me noue l'estomac et me donne envie de replonger sous la couette.
Je ne veux pas rater mes études, j'ai suffisamment galéré pour les reprendre, je fais enfin quelque chose que j'aime, je suis dans les meilleures de ma classe mais cette dépression, qui m'attendait au tournant, reprenant juste des forces pour mieux m'abattre cette fois, gâche tout. D'un côté, je sais que ce n'est pas ma faute, d'un autre, j'en vois qui se battent avec leurs problèmes quotidiens et arrivent quand même à gérer leur vie professionnelle. Je me sens une larve, une faible.
Et le Lysanxia prescrit, en attendant de reprendre un contact régulier avec un psychiatre, n'arrange pas les choses question sommeil.
Je ne voulais pas m'épancher dans ce post, juste partager mon expérience de l'hypersomnie et des problèmes que ça engendre. Surtout que la société considère un insomniaque plus malade qu'un hypersomniaque. Pour eux, un hypersomniaque est un lâche, un fainéant, un faible. Alors c'est dure de se convaincre du contraire.
(1)Je vois celle qui sera, peut-être, ma nouvelle psychiatre demain matin à 8h45 à l'autre bout de ma ligne de métro (je sais pas comment je vais faire pour me réveiller, je ne peux pas rater ça), elle ne souhaite rien prescrire, ni médicaments, ni arrêts de travail, elle m'a prévenue. Par contre, elle veut travailler sur ça avec mon médecin traitant, ce sera donc avec elle que je devrais voir, avec ou sans l'appui de ma psy, pour les traitements ou les arrêts.
Ma fac compte les absences injustifiées et pénalise vertement ceux qui en comptabilise plus de 3. Pensez-vous que mon hypersomnie couplée à ma crise de panique justifierait un "mot d'excuse" de la part de mon médecin pour ma fac ? Ou c'est exagéré de ma part et je devrais assumer ma lâcheté sur ce coup ?
Merci de m'avoir lue et désolée du pavé.
J'ai commencé à faire de l'hypersomnie quand on m'a mise en internat, pensant que le fait "d'habiter dans l'école" m'aiderait à sauver mes études (parce qu'à l'époque, j'avais 14 ans, ma dépression n'était pas encore avérée pour certains et certainement pas une raison pour rater tout ce que j'entreprenais, c'était juste une crise d'adolescence un peu difficile pour ma mère et mon entourage).
Je me souviens que je m'endormais dès que les dortoirs ouvraient, je me réveillais vers une heure du matin, à avoir des pensées macabres, pour me rendormir une à deux heures plus tard. Ensuite, pendant la journée, je m'endormais profondément partout et jusqu'au soir.
C'était proche de la narcolepsie, je m'asseyais sur un banc, dans la cour glaciale, c'était la récréation, ma tête tombait et je m'endormais. Où que je sois, je m'endormais, j'étais constamment épuisée, tellement qu'on a fini par croire que j'avais une maladie du sang et proposé d'aller dormir, quand je le souhaitais, à l'infirmerie (je n'en ai jamais profité, j'avais trop honte).
J'ai fait une dépression de mes 13 ans à mes 16/17 ans, et puis j'ai eu une pause, un répit où je savais que je n'étais pas guérie mais où mes moments bas n'atteignait pas la violence de l'époque.
Récemment, j'ai replongé très violemment dedans (j'ai 21 ans) et je recommence à trop dormir.
Ce qu'il y a c'est que, quand j'allais "bien", j'avais quand même cette sorte de narcolepsie qui faisait que, à chaque coup de stress ou d'émotions trop intenses, je m'endors. Ce n'est pas de la narcolepsie, vu que je ne tombe pas d'un coup, tête la première, comme on le voit dans les documentaires, mais j'ai les yeux qui se ferment, le corps qui se détend, quasiment immédiatement et je ne peux lutter plus d'un quart d'heure, quelque soit la situation.
Ça m'a posé des problèmes en cours, quand j'ai reçu les résultats d'un examen, j'ai immédiatement plongée sur mon bureau pour me réveiller une demi-heure plus tard. Ca n'a pas plus à mon professeur, mais qu'est-ce que je peux lui dire ?
Couplé à ça, le plus dur. Cette "narcolepsie" m'arrive que j'aille bien ou mal, mais avec ma rechute récente et profonde dans la dépression, j'ai recommencé à dormir environ 15h par jour, si ce n'est plus.
Ce matin, par exemple, je n'ai pas entendu mon réveil. Réveillée à 12H, j'ai fait une crise de panique parce que j'avais un examen l'après-midi, une demi-heure pour me préparer à partir, et que je n'étais pas prête. J'ai fait une crise d'angoisse et de panique, j'ai fini par me persuader que, si j'y allais, j'allais fondre en larmes en cours et je ne voulais pas m'exposer ainsi devant tout le monde.
Je suis restée chez moi et suis partie me recoucher à 17H, après avoir tenté de résister à une fatigue monstre, pour me réveiller à 20H. (1)
Je me sens merdique dans ces moments-là, mais je ne peux pas faire autrement.
Là, je devrais faire un devoir pour un professeur et lui envoyer par mail, histoire de me faire pardonner de mon absence, mais rien que l'idée me noue l'estomac et me donne envie de replonger sous la couette.
Je ne veux pas rater mes études, j'ai suffisamment galéré pour les reprendre, je fais enfin quelque chose que j'aime, je suis dans les meilleures de ma classe mais cette dépression, qui m'attendait au tournant, reprenant juste des forces pour mieux m'abattre cette fois, gâche tout. D'un côté, je sais que ce n'est pas ma faute, d'un autre, j'en vois qui se battent avec leurs problèmes quotidiens et arrivent quand même à gérer leur vie professionnelle. Je me sens une larve, une faible.
Et le Lysanxia prescrit, en attendant de reprendre un contact régulier avec un psychiatre, n'arrange pas les choses question sommeil.
Je ne voulais pas m'épancher dans ce post, juste partager mon expérience de l'hypersomnie et des problèmes que ça engendre. Surtout que la société considère un insomniaque plus malade qu'un hypersomniaque. Pour eux, un hypersomniaque est un lâche, un fainéant, un faible. Alors c'est dure de se convaincre du contraire.
(1)Je vois celle qui sera, peut-être, ma nouvelle psychiatre demain matin à 8h45 à l'autre bout de ma ligne de métro (je sais pas comment je vais faire pour me réveiller, je ne peux pas rater ça), elle ne souhaite rien prescrire, ni médicaments, ni arrêts de travail, elle m'a prévenue. Par contre, elle veut travailler sur ça avec mon médecin traitant, ce sera donc avec elle que je devrais voir, avec ou sans l'appui de ma psy, pour les traitements ou les arrêts.
Ma fac compte les absences injustifiées et pénalise vertement ceux qui en comptabilise plus de 3. Pensez-vous que mon hypersomnie couplée à ma crise de panique justifierait un "mot d'excuse" de la part de mon médecin pour ma fac ? Ou c'est exagéré de ma part et je devrais assumer ma lâcheté sur ce coup ?
Merci de m'avoir lue et désolée du pavé.
- YooM
- Messages : 219
- Enregistré le : dimanche 25 octobre 2009 2:48
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
Hello Nemesis,
Je pense que l'excuse médicale serait justifiée dans ton cas ... Il n'y avait rien de volontaire dans ta situation.
J'espère que la psychothérapie va t'aider !
Je pense que l'excuse médicale serait justifiée dans ton cas ... Il n'y avait rien de volontaire dans ta situation.
J'espère que la psychothérapie va t'aider !
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
comment arriver à quitter son lit lorsqu'aucune motivation est là!
ni taf! ni envie! alors j'allume mon ordi, je bois du thé et je piannote....
pffffffffffff, voilà quoi!
ni taf! ni envie! alors j'allume mon ordi, je bois du thé et je piannote....
pffffffffffff, voilà quoi!
- Onagre
- Messages : 3192
- Enregistré le : dimanche 22 février 2009 21:56
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
Je suis comme toi Kryself en ce moment...
Honnêtement je ne bouge de mon lit que quelques minutes par jour depuis une semaine. Je ne trouve pas le sommeil, je m'endors péniblement vers 7-8h, j'émerge difficilement vers 14h...
Je reste tout le temps au lit... avec le pc, les bouquins, les chats. Je mange même au lit quoi...
L'inactivité ne me réussit pas on dirait ^^
Honnêtement je ne bouge de mon lit que quelques minutes par jour depuis une semaine. Je ne trouve pas le sommeil, je m'endors péniblement vers 7-8h, j'émerge difficilement vers 14h...
Je reste tout le temps au lit... avec le pc, les bouquins, les chats. Je mange même au lit quoi...
L'inactivité ne me réussit pas on dirait ^^
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
moi c ma mère qui me tire du lit, elle me gonfle pour sortir...
je pourrais comprendre si ct pas fait de façon agressive en permanence!
je pourrais comprendre si ct pas fait de façon agressive en permanence!
- Lolaa
- Messages : 394
- Enregistré le : mercredi 25 novembre 2009 23:12
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
pareil, c'est ma mère qui me lève, mais en douceur...je sais pas comment je ferai sans elle des fois
- Tyrosine
- Messages : 587
- Enregistré le : mardi 09 juin 2009 9:53
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
Je suis souvent allongé mais je dors pas , la fatigue de l'insomniaque, celle qui vous maintient éveillé et vous fait cogiter
- ella222
- Messages : 117
- Enregistré le : samedi 21 novembre 2009 20:01
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
oui oui oui, le matin c'est franchement le plus dur, idées sombres assurées.
- Lolaa
- Messages : 394
- Enregistré le : mercredi 25 novembre 2009 23:12
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
et surtout cette non envie d'affronter une journée de plus, en sachant d'avance que ça ira pas
- Michèle
- Messages : 1800
- Enregistré le : vendredi 07 mars 2008 10:19
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
idem, la peur d'affronter une nouvelle journée, heureusement ma fille me pousse pour l'emmener à l'école mais après je lutte pour ne pas retourner sur la couette... je comate sur canapé !!!!!!!!!!
- TiddeLamart
- Messages : 34
- Enregistré le : mercredi 13 janvier 2010 1:42
Avez-vous du mal à quitter votre lit ?
J'ai du mal le matin à sortir du lit, j'y suis si bien, cachée sous ma couette, au chaud, avec mes chaaaats. Des fois, je finis sur le canapé, je m'enveloppe dans une couverture, tourne le dos à la pièce et je dors pendant des heures.
Je pourrais passer mes journées à dormir...
Je pourrais passer mes journées à dormir...
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