Un psy qui ne veux pas faire de psychothérapie
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- step@ne
- Messages : 40
- Enregistré le : vendredi 12 novembre 2010 12:54
Un psy qui ne veux pas faire de psychothérapie
Bonjour,
Je vois ce psy suite à un contacte donner par une collègue de travail qui est suivi depuis des années. Lors de nos différent r.d.v celui-ci a dès le début penser que mon agitation (j’ai pleuré dans sont cabinet, suite a ma rechute et j’étais très paniquer des angoisses qui me causes des insomnies depuis 3 mois). J’étais perdue, totalement effondré des symptômes, premier avis, un traitement avec un neuroleptique pour agitation….
Le 2em psy avec qui j’ai une thérapie comportementale à tiquer sur le médicament donner et n’a pas vue de raison particulière. D’ailleurs comme selon mon premier psy je n’ai pas eu d’amélioration au bout d’un mois on a enlevé le neuroleptique.
Donc mon premier psy avec qui je discutais des différentes thérapies et de sa pratique (la psychothérapie analytique) ne voulait pas entreprendre une thérapie si une première est mise en place. J’ai un ami qui lui vois deux psy chacun avec leur méthode de travail, l’analytique et la TCC sont bien éloigner pour me permettre de pouvoir faire les deux, surtout que la TTC est juste un essai, je lui avais expliqué que je désirais essayer mais pas approfondir.
Pendant donc 3 mois à raison d’une séance semaine je le questionnai régulièrement sur le début d’une thérapie ensemble, il me laissait souvent avec un flottement, m’expliquant qu’il ne peux y avoir 2 thérapie ensemble et que vue notre rapport, une thérapie serait difficile mais pas impossible. Selon lui le fait qu’il soit mon prescripteur de médoc lui enlève de suite le droit à mettre en place une thérapie. J’ai réussi à lui faire dire deux trois chose sympathique la semaine dernière car j’en avais raz le bol d’attendre , le psy en TCC je le vois quasiment une fois par mois tellement il est surbooké.
Pour lui je rejette les médicaments et fait preuve d’un manque de confiance envers mon traitement, alors que j’ai pris tous ce qu’il m’a prescrit. Il veut me donner plus de sédatif car il trouve que je suis nerveux, alors que je lui avais dit que c’étais symptomatique de mes angoisse, des fois j’ai une boule au ventre ou a la gorge et cela passe et se transforme en anxiété/nervosité. Lorsque je lui aie dit que les médicaments n’étais pas la solution et qu’il me fallait une thérapie suivis chaque semaine en analyse, il m’a répondu que « l ‘analyse ne peux pas tous soigner »…. Et je lui ai rétorqué que lorsque l’on n’essaye pas et que l’on diagnostique d’entré une personne comme agiter alors qu’elle est perdue dans ses angoisse cela étais un constat d’échec (espèce de gros !:ù*$^ je ne lui ai pas dit).
Donc désaccord sur la méthode est sont point de vue, les professionnels sont toujours omniscient et n’on pas besoin de l’avis du malade, dans une thérapie c’est un comble. Alors il ne m’a donner aucun conseil, m’a dit de prendre la liste de membre de l’association de psychanalyse Freudienne, pour chercher un autre thérapeute en « analytique », pas de numéro, pas de nom, tous nos échanges sont réduit a comment me prescrire ma drogue légale pour taire une souffrance qui a besoin d’être reconnue et épauler vers la route de la conscience.
Je continue a le voir pour me médocs le thérapeute pour la TCC je le revois que dans 15j cela fait 1 mois que je ne l’ai pas vue.
J’ai toujours eu une méfiance vis a vis du melon que les professionnel de santé acquière et comme mon dentiste qui ne me donnait jamais d’antibiotique alors que toutes mes extraction dentaire en nécessitais car elle s’infectait, lui m’a jugé condamné dans une case et quoi que je lui dirais ne m’écouterais jamais vraiment.
Donc je cherche un autre psy sur Paris un bon un qui fait des analyses, et la roulette du bottin m’attend.
J’espère que cela n’est pas trop confus.
Je vois ce psy suite à un contacte donner par une collègue de travail qui est suivi depuis des années. Lors de nos différent r.d.v celui-ci a dès le début penser que mon agitation (j’ai pleuré dans sont cabinet, suite a ma rechute et j’étais très paniquer des angoisses qui me causes des insomnies depuis 3 mois). J’étais perdue, totalement effondré des symptômes, premier avis, un traitement avec un neuroleptique pour agitation….
Le 2em psy avec qui j’ai une thérapie comportementale à tiquer sur le médicament donner et n’a pas vue de raison particulière. D’ailleurs comme selon mon premier psy je n’ai pas eu d’amélioration au bout d’un mois on a enlevé le neuroleptique.
Donc mon premier psy avec qui je discutais des différentes thérapies et de sa pratique (la psychothérapie analytique) ne voulait pas entreprendre une thérapie si une première est mise en place. J’ai un ami qui lui vois deux psy chacun avec leur méthode de travail, l’analytique et la TCC sont bien éloigner pour me permettre de pouvoir faire les deux, surtout que la TTC est juste un essai, je lui avais expliqué que je désirais essayer mais pas approfondir.
Pendant donc 3 mois à raison d’une séance semaine je le questionnai régulièrement sur le début d’une thérapie ensemble, il me laissait souvent avec un flottement, m’expliquant qu’il ne peux y avoir 2 thérapie ensemble et que vue notre rapport, une thérapie serait difficile mais pas impossible. Selon lui le fait qu’il soit mon prescripteur de médoc lui enlève de suite le droit à mettre en place une thérapie. J’ai réussi à lui faire dire deux trois chose sympathique la semaine dernière car j’en avais raz le bol d’attendre , le psy en TCC je le vois quasiment une fois par mois tellement il est surbooké.
Pour lui je rejette les médicaments et fait preuve d’un manque de confiance envers mon traitement, alors que j’ai pris tous ce qu’il m’a prescrit. Il veut me donner plus de sédatif car il trouve que je suis nerveux, alors que je lui avais dit que c’étais symptomatique de mes angoisse, des fois j’ai une boule au ventre ou a la gorge et cela passe et se transforme en anxiété/nervosité. Lorsque je lui aie dit que les médicaments n’étais pas la solution et qu’il me fallait une thérapie suivis chaque semaine en analyse, il m’a répondu que « l ‘analyse ne peux pas tous soigner »…. Et je lui ai rétorqué que lorsque l’on n’essaye pas et que l’on diagnostique d’entré une personne comme agiter alors qu’elle est perdue dans ses angoisse cela étais un constat d’échec (espèce de gros !:ù*$^ je ne lui ai pas dit).
Donc désaccord sur la méthode est sont point de vue, les professionnels sont toujours omniscient et n’on pas besoin de l’avis du malade, dans une thérapie c’est un comble. Alors il ne m’a donner aucun conseil, m’a dit de prendre la liste de membre de l’association de psychanalyse Freudienne, pour chercher un autre thérapeute en « analytique », pas de numéro, pas de nom, tous nos échanges sont réduit a comment me prescrire ma drogue légale pour taire une souffrance qui a besoin d’être reconnue et épauler vers la route de la conscience.
Je continue a le voir pour me médocs le thérapeute pour la TCC je le revois que dans 15j cela fait 1 mois que je ne l’ai pas vue.
J’ai toujours eu une méfiance vis a vis du melon que les professionnel de santé acquière et comme mon dentiste qui ne me donnait jamais d’antibiotique alors que toutes mes extraction dentaire en nécessitais car elle s’infectait, lui m’a jugé condamné dans une case et quoi que je lui dirais ne m’écouterais jamais vraiment.
Donc je cherche un autre psy sur Paris un bon un qui fait des analyses, et la roulette du bottin m’attend.
J’espère que cela n’est pas trop confus.
- Archaos
- Fondateur/Administrateur
- Messages : 17892
- Enregistré le : mardi 06 juin 2006 21:20
Un psy qui ne veux pas faire de psychothérapie
Bonjour step@ne
Oui difficile de faire changer les habitudes d'un psy...
Je pense que le mieux était en effet d'arrêter là la discussion, après ton médecin traitant peut s'occuper des médicaments (c'est mon cas)
j'espère que tu trouveras un psychiatre plus réceptif à tes attentes

Oui difficile de faire changer les habitudes d'un psy...
Je pense que le mieux était en effet d'arrêter là la discussion, après ton médecin traitant peut s'occuper des médicaments (c'est mon cas)
j'espère que tu trouveras un psychiatre plus réceptif à tes attentes
- Bartleby
- Messages : 55
- Enregistré le : lundi 06 décembre 2010 14:38
Un psy qui ne veux pas faire de psychothérapie
Coucou Stephane
Je suis d'accord avec Archaos, cherches un autre psy.
Il y a des idées divergentes concernant la prescription et la thérapie, certains analystes pensent qu'il vaut mieux ne pas mélanger les deux, alors que d'autres trouvent qu'au contraire, la prescription du médicament en lui-même est un acte qui s'inscrit dans le transfert et peut donc par conséquent parfaitement être entreprise par le thérapeute analyste.
Personnellement, je vois un psychiatre pour ma thérapie, et il me prescrit aussi mes médocs. De cette manière, on peut aussi décider ensemble si j'ai besoin de + de béquille pour passer un cap, ce genre de choses. Et il y a évidemment la reconnaissance de ma souffrance par son acte de médecin qui est de prescrire et en fait cela joue beaucoup dans mon sentiment de confiance envers lui et ma sensation qu'on travaille vraiment ENSEMBLE.
Cela constitue un double pacte thérapeutique, sur le plan médicamenteux et sur le plan de l'analyse. Et forcé de constater que des fois, j'ai besoin de l'analyste, et des fois besoin du médecin psychiatre, et des fois besoin des deux.
Sinon, tu as tout à fait raison de te méfier d'une prescription et d'un diagnostique fondés sur une seule entrevue.
Esnuite, oui les thérapies analytiques, ou d'inspiration analytiques, ou systémiques ou autres (il y en a plein), peuvent parfaitement être complémentaires avec une TCC. Car une TCC va surtout se concentrer sur certains de tes symptômes gênants pour t'aider à t'en débarrasser, ainsi que, éventuellement, t'aider sur des problèmes de comportements précis pour améliorer ta situation réelle. C'est relativement commun apparemment aujourd'hui dans les établissement de soins de proposer les deux, soit ensemble, soit en fonction de l'évolution du patient ou de ses besoins...
Si tu n'es pas en accord avec le médicament que te propose le psychiatre, et que tu ne ressens pas le besoin de le prendre, et si tu ne souffres pas de psychose, alors il est bon de prendre un autre avis.
Il est tout à fait possible de dépasser une dépression sans médicaments et au travers d'une thérapie, SI tu conserves une capacité de réflexion, que tu n'es pas trop débordé par les émotions et l'angoisse, ou trop fatigué... en gros, si toi tu te sens d'attaque pour affronter la dépression, il n'y a pas de raison de prendre des médicaments (et garde à l'esprit que tu peux changer d'avis et de ressenti au cours du temps).
Si par contre vraiment tu sens à quel point cela inhibe tes facultés, que l'angoisse est intenable, que plusieurs aspects de ta vie (sociale, amoureuse, professionnelle, familiale..) sont affectés très négativement, alors le médicament peut vraiment t'aider.
Le psychiatre n'est pas omniscient, comme pour toute maladie, le médecin a besoin de ce que dit son patient pour poser exactement son diagnostique et évidemment encore + lorsqu'il s'agit de troubles psychiques. Et puis surtout, il n'y a pas de mal à être agité, pleurer, etc... si on peut plus pleurer, c'est quand même un comble ! Il faudrait faire taire tout ça avec un sédatif ? Je trouve que là, c'est du confort du psychiatre qu'il s'agit plutôt que de celui du patient.
Tu sais toi-même ce que tu supportes et ce que tu ne supportes pas, ce que tu as besoin d'exprimer et ce qui est hors contrôle. Et si il devait y avoir des choses dont tu ne te rends pas compte, ta famille, tes proches, devraient finir par t'en parler.
Et pour finir : mettre un être humain dans une case, cela ne l'a jamais aidé à évoluer. Et il se trouve que, bien heureusement, l'être humain ne cesse jamais d'évoluer. Le cerveau EST extrêmement plastique. Et même quand la case est nécessaire pour le diagnostique et la prescription, ainsi que pour que le thérapeute sache comment aider un patient, cela n'est que la base théorique et médicale qui est censée servir à faire évoluer le patient vers une vie qui soit plus satisfaisante.
Je suis d'accord avec Archaos, cherches un autre psy.
Il y a des idées divergentes concernant la prescription et la thérapie, certains analystes pensent qu'il vaut mieux ne pas mélanger les deux, alors que d'autres trouvent qu'au contraire, la prescription du médicament en lui-même est un acte qui s'inscrit dans le transfert et peut donc par conséquent parfaitement être entreprise par le thérapeute analyste.
Personnellement, je vois un psychiatre pour ma thérapie, et il me prescrit aussi mes médocs. De cette manière, on peut aussi décider ensemble si j'ai besoin de + de béquille pour passer un cap, ce genre de choses. Et il y a évidemment la reconnaissance de ma souffrance par son acte de médecin qui est de prescrire et en fait cela joue beaucoup dans mon sentiment de confiance envers lui et ma sensation qu'on travaille vraiment ENSEMBLE.
Cela constitue un double pacte thérapeutique, sur le plan médicamenteux et sur le plan de l'analyse. Et forcé de constater que des fois, j'ai besoin de l'analyste, et des fois besoin du médecin psychiatre, et des fois besoin des deux.
Sinon, tu as tout à fait raison de te méfier d'une prescription et d'un diagnostique fondés sur une seule entrevue.
Esnuite, oui les thérapies analytiques, ou d'inspiration analytiques, ou systémiques ou autres (il y en a plein), peuvent parfaitement être complémentaires avec une TCC. Car une TCC va surtout se concentrer sur certains de tes symptômes gênants pour t'aider à t'en débarrasser, ainsi que, éventuellement, t'aider sur des problèmes de comportements précis pour améliorer ta situation réelle. C'est relativement commun apparemment aujourd'hui dans les établissement de soins de proposer les deux, soit ensemble, soit en fonction de l'évolution du patient ou de ses besoins...
Si tu n'es pas en accord avec le médicament que te propose le psychiatre, et que tu ne ressens pas le besoin de le prendre, et si tu ne souffres pas de psychose, alors il est bon de prendre un autre avis.
Il est tout à fait possible de dépasser une dépression sans médicaments et au travers d'une thérapie, SI tu conserves une capacité de réflexion, que tu n'es pas trop débordé par les émotions et l'angoisse, ou trop fatigué... en gros, si toi tu te sens d'attaque pour affronter la dépression, il n'y a pas de raison de prendre des médicaments (et garde à l'esprit que tu peux changer d'avis et de ressenti au cours du temps).
Si par contre vraiment tu sens à quel point cela inhibe tes facultés, que l'angoisse est intenable, que plusieurs aspects de ta vie (sociale, amoureuse, professionnelle, familiale..) sont affectés très négativement, alors le médicament peut vraiment t'aider.
Le psychiatre n'est pas omniscient, comme pour toute maladie, le médecin a besoin de ce que dit son patient pour poser exactement son diagnostique et évidemment encore + lorsqu'il s'agit de troubles psychiques. Et puis surtout, il n'y a pas de mal à être agité, pleurer, etc... si on peut plus pleurer, c'est quand même un comble ! Il faudrait faire taire tout ça avec un sédatif ? Je trouve que là, c'est du confort du psychiatre qu'il s'agit plutôt que de celui du patient.
Tu sais toi-même ce que tu supportes et ce que tu ne supportes pas, ce que tu as besoin d'exprimer et ce qui est hors contrôle. Et si il devait y avoir des choses dont tu ne te rends pas compte, ta famille, tes proches, devraient finir par t'en parler.
Et pour finir : mettre un être humain dans une case, cela ne l'a jamais aidé à évoluer. Et il se trouve que, bien heureusement, l'être humain ne cesse jamais d'évoluer. Le cerveau EST extrêmement plastique. Et même quand la case est nécessaire pour le diagnostique et la prescription, ainsi que pour que le thérapeute sache comment aider un patient, cela n'est que la base théorique et médicale qui est censée servir à faire évoluer le patient vers une vie qui soit plus satisfaisante.
- Nanou9
- Messages : 7
- Enregistré le : dimanche 02 janvier 2011 14:43
Un psy qui ne veux pas faire de psychothérapie
Le plus important est de se sentir bien avec son psy. Si vous ne vous sentez pas à l'aise avec un psy il faut changer, car sans ça, il sera impossible d'avancer, d'avoir une vraie relation ayant pour but d'aller mieux, de travailler ensemble...
Je suis moi-même psychologue et je dis toujours aux gens que je rencontre que s'ils ne se sentent pas bien, ils ne doivent surtout pas continuer en se forçant.
Concernant la dépression, effectivement, certaines se soignent sans médicaments, certaines par thérapies + médicaments, et d'autres personnes préfèrent s'en remettre uniquement aux médicaments.
Il est tout à fait possible de consulter un psychologue pour l'aspect thérapeutique, et se faire prescrire un traitement médicamenteux par un psychiatre ou son médecin traitant. Après cela dépend du choix de chacun et des différentes rencontres.
A bientôt!
Je suis moi-même psychologue et je dis toujours aux gens que je rencontre que s'ils ne se sentent pas bien, ils ne doivent surtout pas continuer en se forçant.
Concernant la dépression, effectivement, certaines se soignent sans médicaments, certaines par thérapies + médicaments, et d'autres personnes préfèrent s'en remettre uniquement aux médicaments.
Il est tout à fait possible de consulter un psychologue pour l'aspect thérapeutique, et se faire prescrire un traitement médicamenteux par un psychiatre ou son médecin traitant. Après cela dépend du choix de chacun et des différentes rencontres.
A bientôt!

- step@ne
- Messages : 40
- Enregistré le : vendredi 12 novembre 2010 12:54
Un psy qui ne veux pas faire de psychothérapie
Merci a vous pour vos réponses,
J’ai eu une belle surprise de la part de l’autre Psy spécialiste des TCC. Il a été très clair sur le fait qu’une psychothérapie analytique est une quête de connaissance, et ne fonctionne pas sur les mêmes schémas qu’une TCC. En terme de mieux être pure et au vue de mes propos il m’a clairement invité à aller faire la fêtes, me détendre, faire du yoga, plutôt que de continuer a me trituré les méninges. Etant assez proactif (bouquin sur l’anxiété, quête méditative sur les propos du Dalaï-lama, sophro) il ma conseiller a part si j’avais des inconnue sur mes origines et mes moteur de vie, de laisse la psy analytique de coter et de me détendre j’en faisais déjà assez.
Je continue donc avec lui mes séances de TCC et si besoin après avoir fini le cycle thérapeutique, m’orienterais sur un autre type de thérapie non analytique.

J’ai eu une belle surprise de la part de l’autre Psy spécialiste des TCC. Il a été très clair sur le fait qu’une psychothérapie analytique est une quête de connaissance, et ne fonctionne pas sur les mêmes schémas qu’une TCC. En terme de mieux être pure et au vue de mes propos il m’a clairement invité à aller faire la fêtes, me détendre, faire du yoga, plutôt que de continuer a me trituré les méninges. Etant assez proactif (bouquin sur l’anxiété, quête méditative sur les propos du Dalaï-lama, sophro) il ma conseiller a part si j’avais des inconnue sur mes origines et mes moteur de vie, de laisse la psy analytique de coter et de me détendre j’en faisais déjà assez.
Je continue donc avec lui mes séances de TCC et si besoin après avoir fini le cycle thérapeutique, m’orienterais sur un autre type de thérapie non analytique.
- Bartleby
- Messages : 55
- Enregistré le : lundi 06 décembre 2010 14:38
Un psy qui ne veux pas faire de psychothérapie
Bon c'est cool tout ça
Pour la psychanalyse, mais genre vraiment psychanalyse pure, il y a des situations où c'est pas une bonne idée. En général, quand on va vraiment trop mal, c'est pas la peine d'aller se prendre la tête, déjà trouver du soutien et du repos c'est le premier truc à faire.
Sinon tu pourras ensuite voir avec un psychologue clinicien, qui normalement ont étudié toutes les formes de thérapies, ainsi que l'apport des sciences (neuropsy, sciences cognitives etc tc) et même si ensuite ils choisissent une orientation (une "école"), le but en tant que clinicien c'est pas de pratiquer telle ou telle thérapie, mais de mettre en place un soin thérapeutique efficace pour aider la personne.
Les psychologues cliniciens ont un diplôme, mais pour pratiquer, ils doivent aussi avoir été formé à la pratique de la thérapie. Donc informes-toi avant de choisir, quand tu passeras des coups de fil : diplôme, quelle orientation etc.
Par ex ton psy TCC, il a dû faire des études de psycho, passer son diplôme, et ensuite ou pendant je sais pas trop, se former à la pratique des thérapies TCC.
Bref mais bonne continuation
Pour la psychanalyse, mais genre vraiment psychanalyse pure, il y a des situations où c'est pas une bonne idée. En général, quand on va vraiment trop mal, c'est pas la peine d'aller se prendre la tête, déjà trouver du soutien et du repos c'est le premier truc à faire.
Sinon tu pourras ensuite voir avec un psychologue clinicien, qui normalement ont étudié toutes les formes de thérapies, ainsi que l'apport des sciences (neuropsy, sciences cognitives etc tc) et même si ensuite ils choisissent une orientation (une "école"), le but en tant que clinicien c'est pas de pratiquer telle ou telle thérapie, mais de mettre en place un soin thérapeutique efficace pour aider la personne.
Les psychologues cliniciens ont un diplôme, mais pour pratiquer, ils doivent aussi avoir été formé à la pratique de la thérapie. Donc informes-toi avant de choisir, quand tu passeras des coups de fil : diplôme, quelle orientation etc.
Par ex ton psy TCC, il a dû faire des études de psycho, passer son diplôme, et ensuite ou pendant je sais pas trop, se former à la pratique des thérapies TCC.
Bref mais bonne continuation
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