Que ce soit le valium ou le tranxene,
le resultat est toujours le meme.
Medicaments magiques,
qui apaisent les esprits hysteriques.
C'est devant toi que je me pame,
il n'y a que toi qui me calme.
Je te prends par poignées.
Je te prends comme bouclier.
J'ai besoin de toi,toi ma flamme,tu connais l'horreur de mes idées meurtries;
toi seul sait la pourriture de ma vie.
Mon doux et bel ami,mon égérie,
de tes propriétés,je te remercie.
Tu es l'ange de mes foutus démons,
je me donne à toi,définitivement,pour de bon.NOV 2006.
Que ce soit le valium ou le tranxene, le resultat est toujours le meme.
- forrez
- Messages : 7
- Enregistré le : mardi 01 janvier 2008 18:20
- forrez
- Messages : 7
- Enregistré le : mardi 01 janvier 2008 18:20
poemes de forrez
Hormis les chats,je n'aime rien,je n'ai envie de rien.Théophile Gautier.![]()
- Agr[e]²d
- Messages : 64
- Enregistré le : mardi 18 décembre 2007 0:17
En parlant de chats et de poésie, à mon sens une des plus belle décalration d'amour que l'on puisse faire à un chat, je connaît ce poème par coeur,
Charles Baudelaire, Le Chat II, Les Fleurs de Mal
De sa fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux, qu'un soir
J'en fus embaumé, pour l'avoir
Caressé une fois, rien qu'une.
C'est l'esprit familier du lieu;
Il juge, il préside, il inspire
Toutes choses dans son empire;
Peut-être est-il fée, est-il dieu?
Quand mes yeux vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant,
Se retournent docilement
Et que je regarde en moi-même,
Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux, vivantes opales,
Qui me contemplent fixement.
Charles Baudelaire, Le Chat II, Les Fleurs de Mal
De sa fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux, qu'un soir
J'en fus embaumé, pour l'avoir
Caressé une fois, rien qu'une.
C'est l'esprit familier du lieu;
Il juge, il préside, il inspire
Toutes choses dans son empire;
Peut-être est-il fée, est-il dieu?
Quand mes yeux vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant,
Se retournent docilement
Et que je regarde en moi-même,
Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux, vivantes opales,
Qui me contemplent fixement.
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