Dyskinésie tardive suite à l'arrêt de neuroleptiques, anxiolytiques
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- Mhnhg
- Messages : 260
- Enregistré le : lundi 25 novembre 2024 23:33
Dyskinésie tardive suite à l'arrêt de neuroleptiques, anxiolytiques
Ah oui et autre chose, ça me parle énormément quand tu dis qu'on a pas échoué tant que l'on a juste pas essayé. On m'a sorti le discours du vous avez abandonné, mon dieu ce qu'il faut pas entendre, j'étais sidéré, je suis stoïque mais alors la qu'elle puisse penser ça ça m'a un peu choqué
C'était la période où je devais repasser le bac, il y a des écoles de la deuxième chance, avec des super prof qui prennent de leur temps pour s'investir, et moi j'ai choisi une autre solution, intérieurement je devais soit accepter les neuro entrer dans leur jeu et changer de vie en travaillant, soit me sortir de tous mes problèmes, gestio d'argent Diogène prendre mon logement et me détacher du diag, et aujourd'hui je regrette absolument pas mon choix, d'ailleurs au CMP ils n'ont jamais tenu compte du diag donné ailleurs (ce qu'ils veulent c'est nous maintenir, les neuro rapportent une infinie richesse), elle a arrêté de me suivre de rage que je m'en sois sorti, et malheureusement rien a changé. Je pense (voir je suis sûr)que si rien ne s'arrange au prochain rendez-vous je file en libéral après m'être entretenu avec le psy d'un autre CMP
C'était la période où je devais repasser le bac, il y a des écoles de la deuxième chance, avec des super prof qui prennent de leur temps pour s'investir, et moi j'ai choisi une autre solution, intérieurement je devais soit accepter les neuro entrer dans leur jeu et changer de vie en travaillant, soit me sortir de tous mes problèmes, gestio d'argent Diogène prendre mon logement et me détacher du diag, et aujourd'hui je regrette absolument pas mon choix, d'ailleurs au CMP ils n'ont jamais tenu compte du diag donné ailleurs (ce qu'ils veulent c'est nous maintenir, les neuro rapportent une infinie richesse), elle a arrêté de me suivre de rage que je m'en sois sorti, et malheureusement rien a changé. Je pense (voir je suis sûr)que si rien ne s'arrange au prochain rendez-vous je file en libéral après m'être entretenu avec le psy d'un autre CMP
- Mhnhg
- Messages : 260
- Enregistré le : lundi 25 novembre 2024 23:33
Dyskinésie tardive suite à l'arrêt de neuroleptiques, anxiolytiques
Excuse-moi mais je n'ai pas compris le sens de ce message '' pour les services d'addicto, je n'y ai jamais eu affaire, mais je crois que même dans certain domaines plus "communs", les spécialistes sont assez mécontent. J'ai vu un doc ou un directeur de service, pour soigner les patients, expliquait devoir commencer par déconstruire les discours de prévention et les inepsies médiatiques sur la boulimie, l'anorexie, le cannabis...''
Tu veux dire que les médecins addicto ça les arrange bien qu'il y ai des drogués pour pouvoir prescrire eux aussi un peu à tout va ?
Tu veux dire que les médecins addicto ça les arrange bien qu'il y ai des drogués pour pouvoir prescrire eux aussi un peu à tout va ?
- opmi
- Messages : 25
- Enregistré le : mardi 22 octobre 2024 1:23
Dyskinésie tardive suite à l'arrêt de neuroleptiques, anxiolytiques
Salut,
J'ai l'impression de lire ce que j'ai vécu à certains moments... Un gros moment de panique parce que tout semblerait pouvoir s'arranger et en fait ça par en c.....e !
C'est terrible à vivre, et déprimant, injuste, ça fait mal... Je te parle ouvertement, et même si on ne se connais pas, j'ai envie de te dire que tu n'as pas mérité ça. Tiens bon, vraiment, ne lache pas. Tu as déjà survécu à tout ça alors ne lache pas.
Si je comprends bien un psy t'a dit d'arrêter un médoc, comme ça, à l'arrache, comme si c'était une bonne idée... Forcément, la chimie a fait son oeuvre et en plus du fait qu'autour de toi ça tourne pas génial, tu as dû affronter une "secousse" d'ordre biologique, avec une modification du fonctionnement chimique de ton cerveau (les recepteurs de recapture de la neurtonine et tout le bazar...).
Ca fait trop d'un seul coup pour une personne, alors mon conseil, ce serait de juste prendre le temps de te remettre un peu. Tu te poses, et tu poses tout ça quelque part (en pensée). Un petit temps de respiration.
Est-ce que tu as quelqu'un de proche qui peut t'apporter un peu de réconfort ? Pour moi, c'est ça qui permet de tenir. Très souvent, on se retrouve très seul avec tout ces problèmes complexes, parce que justement ils sont trop complexe.
Si tu vois ta mère, la meilleure chose est en effet de t'occuper avec elle de son bois pour l'hivers, te centrer sur le concret, sur ce qui est simple.
Une respiration, et tu verras après. Il y avait une vieille pub qui disait (tu ne l'a peut-être pas connue) un truc du genre : "même les champions ont besoin de réconfort". Je sais que tout est urgent, qu'il faudrait tout régler au plus vite, tout mener de front, c'est ce que je vis aussi en ce moment, mais on n'est pas des super-man.
Je te répondrais plus longuement demain, juste une dernière chose : moi j'ai abandonné d'essayer de comprendre le fonctionnement de la psychiatrie et des psychiatres. Je ne suis pas sûr que ce soit un bon conseil, mais ne t'accroche pas à un hypothétique diagnostic "rationnel" pour l'instant. Tu sais qui tu es, ce que tu à vecu, ce que tu peux en penser. Vise ton intéret concret, pour ce qui est de la vérité, la réalité, ne la recherches pas auprès d'eux. Pendant un moment, ça me faisait du bien de parler à ma psychiatre, de me libérer par la parole, même si elle en pensait n'importe quoi.
Objectif confort !
Prends soin de toi. Ce message devait être un peu brouillon, c'est pas la grande forme de mon côté non plus.
Je te répondrais plus longuement demain.
J'ai l'impression de lire ce que j'ai vécu à certains moments... Un gros moment de panique parce que tout semblerait pouvoir s'arranger et en fait ça par en c.....e !
C'est terrible à vivre, et déprimant, injuste, ça fait mal... Je te parle ouvertement, et même si on ne se connais pas, j'ai envie de te dire que tu n'as pas mérité ça. Tiens bon, vraiment, ne lache pas. Tu as déjà survécu à tout ça alors ne lache pas.
Si je comprends bien un psy t'a dit d'arrêter un médoc, comme ça, à l'arrache, comme si c'était une bonne idée... Forcément, la chimie a fait son oeuvre et en plus du fait qu'autour de toi ça tourne pas génial, tu as dû affronter une "secousse" d'ordre biologique, avec une modification du fonctionnement chimique de ton cerveau (les recepteurs de recapture de la neurtonine et tout le bazar...).
Ca fait trop d'un seul coup pour une personne, alors mon conseil, ce serait de juste prendre le temps de te remettre un peu. Tu te poses, et tu poses tout ça quelque part (en pensée). Un petit temps de respiration.
Est-ce que tu as quelqu'un de proche qui peut t'apporter un peu de réconfort ? Pour moi, c'est ça qui permet de tenir. Très souvent, on se retrouve très seul avec tout ces problèmes complexes, parce que justement ils sont trop complexe.
Si tu vois ta mère, la meilleure chose est en effet de t'occuper avec elle de son bois pour l'hivers, te centrer sur le concret, sur ce qui est simple.
Une respiration, et tu verras après. Il y avait une vieille pub qui disait (tu ne l'a peut-être pas connue) un truc du genre : "même les champions ont besoin de réconfort". Je sais que tout est urgent, qu'il faudrait tout régler au plus vite, tout mener de front, c'est ce que je vis aussi en ce moment, mais on n'est pas des super-man.
Je te répondrais plus longuement demain, juste une dernière chose : moi j'ai abandonné d'essayer de comprendre le fonctionnement de la psychiatrie et des psychiatres. Je ne suis pas sûr que ce soit un bon conseil, mais ne t'accroche pas à un hypothétique diagnostic "rationnel" pour l'instant. Tu sais qui tu es, ce que tu à vecu, ce que tu peux en penser. Vise ton intéret concret, pour ce qui est de la vérité, la réalité, ne la recherches pas auprès d'eux. Pendant un moment, ça me faisait du bien de parler à ma psychiatre, de me libérer par la parole, même si elle en pensait n'importe quoi.
Objectif confort !
Prends soin de toi. Ce message devait être un peu brouillon, c'est pas la grande forme de mon côté non plus.
Je te répondrais plus longuement demain.
- opmi
- Messages : 25
- Enregistré le : mardi 22 octobre 2024 1:23
Dyskinésie tardive suite à l'arrêt de neuroleptiques, anxiolytiques
Je n'avais pas vu tes deux derniers messages.
Pour les services d'addictologie, en effet je n'ai pas été très clair.
Ce sont les campagnes de préventions qui sont problèmatiques, et qui sont plus basée sur de l'idéologie que sur des faits scientifiques. Et lorsqu'un ado est pris en charge par exemple pour anorexie, consommation de drogue douce, ou addiction aux écrans, etc, les soignants commencent par rectifier les "croyances populaires" qui sont alimentées par le discours médiatique.
Par exemple le fait que l'on mélange les notions de danger et de risque, ou que des statistiques soient utilisées de manière biaisées pour donner un ton alarmiste. Une ado boulimique va être culpabilisée parce qu'elle mange trop. Et son sentiment de culpabilité va la faire se focaliser sur le fait que c'est de sa faute car elle mange trop, et passer à la trappe la raison pour laquelle elle se sentait mal avant de devenir boulimique.
On va prétendre que le problème des personnes alcoolique, c'est l'alcool, alors que l'alcoolisme est souvent une manière, pour la personne, de fuir un problème qu'il n'arrive pas à affronter.
Tout ça n'est pas très important, mais à mon sens, pour ça comme pour la psychiatrie, c'est plus un model de société qui est en cause que la médecine elle-même.
Pour les services d'addictologie, en effet je n'ai pas été très clair.
Ce sont les campagnes de préventions qui sont problèmatiques, et qui sont plus basée sur de l'idéologie que sur des faits scientifiques. Et lorsqu'un ado est pris en charge par exemple pour anorexie, consommation de drogue douce, ou addiction aux écrans, etc, les soignants commencent par rectifier les "croyances populaires" qui sont alimentées par le discours médiatique.
Par exemple le fait que l'on mélange les notions de danger et de risque, ou que des statistiques soient utilisées de manière biaisées pour donner un ton alarmiste. Une ado boulimique va être culpabilisée parce qu'elle mange trop. Et son sentiment de culpabilité va la faire se focaliser sur le fait que c'est de sa faute car elle mange trop, et passer à la trappe la raison pour laquelle elle se sentait mal avant de devenir boulimique.
On va prétendre que le problème des personnes alcoolique, c'est l'alcool, alors que l'alcoolisme est souvent une manière, pour la personne, de fuir un problème qu'il n'arrive pas à affronter.
Tout ça n'est pas très important, mais à mon sens, pour ça comme pour la psychiatrie, c'est plus un model de société qui est en cause que la médecine elle-même.
- Mhnhg
- Messages : 260
- Enregistré le : lundi 25 novembre 2024 23:33
Dyskinésie tardive suite à l'arrêt de neuroleptiques, anxiolytiques
Salut, en fait c'est pire que ça, c'est moi qui ai demandé le sevrage, sauf qu'ils ont fait en sorte d'arrêter l'antidépresseur avant l'injection, alors forcément pour n'importe qui si on retire tout d'un coup comme tu le dis avec en plus autour de moi des gens qui ne comprennent pas (ou ne veulent pas comprendre) sauf ma mère qui est intervenu pour bien leur mettre dans la gueule qu'ils ont fait n'importe quoi, forcément ça tourne pas bien. Et eux ont compris qu'en gros je rechutais, alors là j'ai eu une colère,
Que si ma mère n'était pas intervenu ils seraient rester sur l'idée d'une rechute et que ma parole est sans cesse négligée, quand j'en ai parlé à l'infirmier (ou essayer d'en parler tant c'est des têtes de ***) il a bufflé au nez dans le téléphone. J'aurais eu envie de le massacrer. Ils ont reconnu une mauvaise prise en charge PARCE QUE ma mère a appelé, moi, ils en ont rien à foutre. Comme tu dis pour eux j'étais juste un malade qui ne sait pas ce qu'il fait, dans le déni, qu'il faut remettre à sa place.
J'ai contacté l'addicto pendant cette période avant que ma mère les appelle et le même infirmier qui se permet de dire que ça me mettrais plus mal un suivi en addicto, je t'assure que...avec tout ça ils ont aucune idée du point auquel ma haine grandit ma colère mon désir de revanche et de changer radicalement de vie.
La psychiatre a reconnu juste avant '' d'accorder '' le sevrage, l'épisode psychotique terminé, après dix ans de bataille, ce co.... d'infirmier allait tout foutre à l'eau tant il est stupide.
Elle a reconnu une belle évolution, pour moi c'est du passé. Ils se sont même permis de dire que c'est moi qui revient vers eux genre '' il revient à chaque fois '' ils comprennent pas que j'ai l'aah à renouveler mais que j'en ai rien à***** de leur gueule. Et qu'un sevrage s'arrête pas à l'arrache après dix ans, qu'en plus avec le risque de dyskinésie il faut bien être orienter vers un neurologue et que le mieux c'est que ça se passe bien avec le CMP! Et pas partir dans tous les sens, bref, ils ont fait que de la M.... et ce comme depuis dix ans, quand c'est pas une interprétation médicale à côté de la plaque c'est un sevrage mal pris en charge et quand ce n'est pas ça c'est le fait qu'ils comprennent pas que l'aah est à renouveler, que j'ai un loyer à payer que j'ai construis ma vie et que je suis pas un surhomme à pouvoir me décider à travailler à passer un diplôme a me sevrer d'un produit que mon corps a depuis dix ans à trouver une femme faire des enfants sans dyskinésie et hop tout est réglé ! Qu'ils sont bêtes mais qu'ils sont bêtes... J'ai un profond mépris pour eux et pour tout te dire une sacrée dent contre eux
Et t'as raison merci de ton conseil, y'a rien à tirer de ces gens-là, je cherche maintenant juste le meilleur ratio entre : éviter la dyskinésie, renouveler l'aah où travailler faire de l'apprentissage, être soutenu par peut être même une personne tierce (psychothérapeute ou autre) et le sevrage, mais je ne m'accroche plus à ces gens, ils ont été tellement médiocre et m'ont tellement lésé que tout ce que je ressens c'est un profond mépris, une haine, une colère (même si je la canalise et que je m'en détache) et qu'ils servent ma cause sur la plus revancharde des revanche possible. Il y a bien ma mère mais elle veux être tranquille et refaire sa vie même si elle me soutien c'est un peu de loin et elle je cite '' ne veux pas d'une relation de sauveuse '', ça tombe bien je n'en veux pas non plus, bref...le moral ça met un coup car ils vont prendre ça pour un échec alors qu'en soi je n'ai même pas tenté puisque ayant déjà été sous contrainte et étant en colère j'ai repris, mais le coup des antidépresseurs franchement ça reste en travers de la gorge. Au moins maintenant les choses sont clair je reste toujours chez moi car avant j'allais voir ma mère mais j'oublie pas non plus qu'elle s'est révélée au moment du sevrage (vu qu'elle était au courant), qu'elle me lâche. Elle attendait sûrement ce moment pour révéler ses intentions (égoïste), et le CMP j'ai compris qu'ils sont bêtes, mal organisé, je ne sais même pas ce qu'ils savent ce qu'ils font. Alors après des années d'un diagnostic bâclé, deux ans de médocs en tous genre, un suivi médiocre, ou on sent que les labos derrière ça les arrange bien qu'il y ai des malades, c'est assez démotivant.
Par contre oui clairement moi comme toi, on a tellement été lésé, détruit par un médecin et handicapé par la médecine, qu'on sait qu'on ne mérite pas, en fait personne ne mérite un tel acharnement. C'est du délire
Que si ma mère n'était pas intervenu ils seraient rester sur l'idée d'une rechute et que ma parole est sans cesse négligée, quand j'en ai parlé à l'infirmier (ou essayer d'en parler tant c'est des têtes de ***) il a bufflé au nez dans le téléphone. J'aurais eu envie de le massacrer. Ils ont reconnu une mauvaise prise en charge PARCE QUE ma mère a appelé, moi, ils en ont rien à foutre. Comme tu dis pour eux j'étais juste un malade qui ne sait pas ce qu'il fait, dans le déni, qu'il faut remettre à sa place.
J'ai contacté l'addicto pendant cette période avant que ma mère les appelle et le même infirmier qui se permet de dire que ça me mettrais plus mal un suivi en addicto, je t'assure que...avec tout ça ils ont aucune idée du point auquel ma haine grandit ma colère mon désir de revanche et de changer radicalement de vie.
La psychiatre a reconnu juste avant '' d'accorder '' le sevrage, l'épisode psychotique terminé, après dix ans de bataille, ce co.... d'infirmier allait tout foutre à l'eau tant il est stupide.
Elle a reconnu une belle évolution, pour moi c'est du passé. Ils se sont même permis de dire que c'est moi qui revient vers eux genre '' il revient à chaque fois '' ils comprennent pas que j'ai l'aah à renouveler mais que j'en ai rien à***** de leur gueule. Et qu'un sevrage s'arrête pas à l'arrache après dix ans, qu'en plus avec le risque de dyskinésie il faut bien être orienter vers un neurologue et que le mieux c'est que ça se passe bien avec le CMP! Et pas partir dans tous les sens, bref, ils ont fait que de la M.... et ce comme depuis dix ans, quand c'est pas une interprétation médicale à côté de la plaque c'est un sevrage mal pris en charge et quand ce n'est pas ça c'est le fait qu'ils comprennent pas que l'aah est à renouveler, que j'ai un loyer à payer que j'ai construis ma vie et que je suis pas un surhomme à pouvoir me décider à travailler à passer un diplôme a me sevrer d'un produit que mon corps a depuis dix ans à trouver une femme faire des enfants sans dyskinésie et hop tout est réglé ! Qu'ils sont bêtes mais qu'ils sont bêtes... J'ai un profond mépris pour eux et pour tout te dire une sacrée dent contre eux
Et t'as raison merci de ton conseil, y'a rien à tirer de ces gens-là, je cherche maintenant juste le meilleur ratio entre : éviter la dyskinésie, renouveler l'aah où travailler faire de l'apprentissage, être soutenu par peut être même une personne tierce (psychothérapeute ou autre) et le sevrage, mais je ne m'accroche plus à ces gens, ils ont été tellement médiocre et m'ont tellement lésé que tout ce que je ressens c'est un profond mépris, une haine, une colère (même si je la canalise et que je m'en détache) et qu'ils servent ma cause sur la plus revancharde des revanche possible. Il y a bien ma mère mais elle veux être tranquille et refaire sa vie même si elle me soutien c'est un peu de loin et elle je cite '' ne veux pas d'une relation de sauveuse '', ça tombe bien je n'en veux pas non plus, bref...le moral ça met un coup car ils vont prendre ça pour un échec alors qu'en soi je n'ai même pas tenté puisque ayant déjà été sous contrainte et étant en colère j'ai repris, mais le coup des antidépresseurs franchement ça reste en travers de la gorge. Au moins maintenant les choses sont clair je reste toujours chez moi car avant j'allais voir ma mère mais j'oublie pas non plus qu'elle s'est révélée au moment du sevrage (vu qu'elle était au courant), qu'elle me lâche. Elle attendait sûrement ce moment pour révéler ses intentions (égoïste), et le CMP j'ai compris qu'ils sont bêtes, mal organisé, je ne sais même pas ce qu'ils savent ce qu'ils font. Alors après des années d'un diagnostic bâclé, deux ans de médocs en tous genre, un suivi médiocre, ou on sent que les labos derrière ça les arrange bien qu'il y ai des malades, c'est assez démotivant.
Par contre oui clairement moi comme toi, on a tellement été lésé, détruit par un médecin et handicapé par la médecine, qu'on sait qu'on ne mérite pas, en fait personne ne mérite un tel acharnement. C'est du délire
Modifié en dernier par Mhnhg le samedi 25 janvier 2025 23:10, modifié 1 fois.
- Mhnhg
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Dyskinésie tardive suite à l'arrêt de neuroleptiques, anxiolytiques
Je comprends oui, s'attaquer à la cause et non à la conséquenceopmi a écrit : ↑samedi 25 janvier 2025 2:21Je n'avais pas vu tes deux derniers messages.
Pour les services d'addictologie, en effet je n'ai pas été très clair.
Ce sont les campagnes de préventions qui sont problèmatiques, et qui sont plus basée sur de l'idéologie que sur des faits scientifiques. Et lorsqu'un ado est pris en charge par exemple pour anorexie, consommation de drogue douce, ou addiction aux écrans, etc, les soignants commencent par rectifier les "croyances populaires" qui sont alimentées par le discours médiatique.
Par exemple le fait que l'on mélange les notions de danger et de risque, ou que des statistiques soient utilisées de manière biaisées pour donner un ton alarmiste. Une ado boulimique va être culpabilisée parce qu'elle mange trop. Et son sentiment de culpabilité va la faire se focaliser sur le fait que c'est de sa faute car elle mange trop, et passer à la trappe la raison pour laquelle elle se sentait mal avant de devenir boulimique.
On va prétendre que le problème des personnes alcoolique, c'est l'alcool, alors que l'alcoolisme est souvent une manière, pour la personne, de fuir un problème qu'il n'arrive pas à affronter.
Tout ça n'est pas très important, mais à mon sens, pour ça comme pour la psychiatrie, c'est plus un model de société qui est en cause que la médecine elle-même.
C'est tellement lamentable tout ça
Par contre lors de l'arrêt il y a aussi eu un effet de sevrage (musculaire et des acouphènes), j'ai compris qu'il faut y aller vraiment petit à petit, ça semble interminable,
J'ai quand même ressenti de nouveau justement le contact avec la réalité, être en contact, ça m'a fait bizarre mais j'ai bien apprécié, et j'ai compris qu'avec ces médocs on est juste éteint. Qu'en bloquant la dopamine ça n'a jamais été un moyen ou une solution pour que quelqu'un aille bien, ça n'a aucun sens
Édit, et encore, je ne te parle même pas de ce qu'ils ont causé : perte musculaire dans les bras, grosse perte de poids, les fesses qui tombent, les bras aussi, ouais a 30ans youpi!
- Mhnhg
- Messages : 260
- Enregistré le : lundi 25 novembre 2024 23:33
Dyskinésie tardive suite à l'arrêt de neuroleptiques, anxiolytiques
J'ai quelques questions à te poser j'espère que tu voudras y répondre, par exemple, moi avec la vape et le traitement, mes dents sont devenus un peu moche quand même, alors qu'à la base j'ai un beau sourire, mais bref, comment tu t'en es sorti avec ton ancienne conso de cannabis/ les dents et le traitement? Tu as des astuces ou des solutions pour retrouver un beau sourire ?
Les diplômes et le travail qu'est ce que tu as fais ? De quoi tu vis aujourd'hui? Je sais qu'il existe le RSA mais je me demande si ça doit me tomber dessus si je m'en sortirais avec les conseillers, leur but, leurs travers etc (un peu à la façon d'un psy), j'ai un loyer de 140€ environ à payer,
Comment tu as fais pour travailler avec la dyskinésie? Tu réussi à bien dormir? Et pour conduire comment tu fais?
Si tu peux me répondre j'y verrais plus clair et de la même façon si tu as des questions n'hésite pas !
Les diplômes et le travail qu'est ce que tu as fais ? De quoi tu vis aujourd'hui? Je sais qu'il existe le RSA mais je me demande si ça doit me tomber dessus si je m'en sortirais avec les conseillers, leur but, leurs travers etc (un peu à la façon d'un psy), j'ai un loyer de 140€ environ à payer,
Comment tu as fais pour travailler avec la dyskinésie? Tu réussi à bien dormir? Et pour conduire comment tu fais?
Si tu peux me répondre j'y verrais plus clair et de la même façon si tu as des questions n'hésite pas !
- opmi
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- Enregistré le : mardi 22 octobre 2024 1:23
Dyskinésie tardive suite à l'arrêt de neuroleptiques, anxiolytiques
Salut,
Pas sûr que ce que je vais te dire soit très rassurant, mais par certains côté ça l'ai quand même. L'année dernière j'ai rencontré des gens par le biais d'une asso, et entendu beaucoup de patients en psychiatrie (et surtout des anciens patients) raconter des choses insensées sur les agissements de leurs psy. Des choses que j'ai vécu aussi, et qui ressemblent à ce que tu vis.
Je me croyais seul, et donc que ça ne pouvait pas être vrai... preuve ultime que je devais être soigné. On a toujours tord quand on est seul à avoir raison, et comme la psychiatrie à souvent tendance à isoler les patients...
Il existe un site qui traite d'un peu tout ça, je crois qu'il n'est plus en ligne mais quelqu'un en a fait une version en pdf ici :
https://collectif.club/zinzinzine/
Je crois que tu m'avais expliqué qu'à un moment ou tu te sentais mieux, ça avait été considéré comme un épisode maniac. J'ai eu ce même truc surréaliste avec une psychologue : alors que je venais de vivre une belle victoire, elle a trouvé que ça ressemblait à une "bouffée délirante" et m'a dit de prendre 10mg de risperdale. Quand je lui ai répondu que 10mg, c'était au dessus de la dose conseillée, elle m'a répondu que peu importe, qu'elle n'était pas psychiatre et moi non plus, alors 10mg ce serait très bien.
Je te raconte ça, parce que j'ai réfléchi pendant des années à son étrange réponse. J'étais sûr que ça devait avoir un sens que je n'arrivais pas à comprendre. Mais en fait il faut essayer de prendre les choses telles qu'elles sont, pour ce qu'elles sont, et mettre de côté le besoin de comprendre ou de trouver une explication satisfaisante.
D'une autre manière, j'ai été confronté à des comportements destructeurs, et le reflexe c'est toujours de chercher la logique, la justification, la justice. Alors on reste bloqué sur ce qui c'est passé, et le meilleur moyen d'avancer est en fait de passer à la suite.
Donc ne te prends pas la tête avec leurs erreurs, et essaie de ne pas rester sur des ressentis négatifs (pas simple, je sais). C'est injuste, c'est certain, alors libères toi des injustices en les racontant comme tu le fais, et laisse ça derrière pour revenir aux questions importantes : et maintenant je fais quoi, j'ai besoins de quoi, je veux quoi ?...
Comme tu dis, changer de vie, c'est ça l'important. Si un suivi en addicto aurait été bien mais qu'il n'y a pas moyen, alors il faut trouver autre chose. Et ça redeviendra peut-être une option plus tard.
Pour ta mère, je ne veux pas te dire de bétises puisque je ne la connais pas, mais j'ai vécu moi aussi plein de situations différentes avec ma famille, et souvent contradictoires. On a généralement besoin de nos proches, surtout si on est isolé. Et sûrement qu'elle aussi a envie ou besoin d'une bonne entente avec toi. C'est pas facile, mais garde ce qui est bon pour votre relation, et mets à distance ce qui ne l'ai pas. Si tu peux te confier à elle, qu'elle t'apporte du réconfort, et que ça te fait du bien d'aller passer un moment simple, sans prise de tête, à lui ranger son bois en lui rendant service... Encore une fois prends les choses comme elles viennent. Il n'est pas question de n'en vouloir à personne, mais juste d'aller vers ce qui est bien et positif. pour garder ton energie pour avancer. "trouver une femme faire des enfants", et j'y ajouterai une petite maison et des vacances sympa, un boulot/salaire correcte et des raisons d'être heureux !
Alors pour les symptomes de sevrage, c'est pas génial. Pour moi le pire a été durant les phases de diminution. Pour le reste, acouphènes, douleurs, et le corps qui a été éprouvé par tout ça... Pas de solution miracle mais pour moi ça en vaut la peine.
Je pensais ne plus jamais pouvoir être heureux, et c'est ce que les psy m'avaient prédit. En fait, en bricolant la dopamine, les médocs bloquent les angoisses et aussi les joies.
Je suis passionné de musique, et pendant 17 ans je n'ai plus rien ressentie en en écoutant. Après l'arrêt du traitement, j'ai redécouvert ce plaisir là : écouter certains morceaux et en être transporté, pendant 3 minutes avoir la chair de poule avec une mélodie ou la voix d'une chanteuse... Et des choses plus banales, être content de voir une personne qu'on aime, de passer une soirée sympa, ou être joyeux parce qu'il vient de se passer un truc agréable et imprévu.
Retrouver ça, c'est inestimable.
A+, et tiens bon
Pas sûr que ce que je vais te dire soit très rassurant, mais par certains côté ça l'ai quand même. L'année dernière j'ai rencontré des gens par le biais d'une asso, et entendu beaucoup de patients en psychiatrie (et surtout des anciens patients) raconter des choses insensées sur les agissements de leurs psy. Des choses que j'ai vécu aussi, et qui ressemblent à ce que tu vis.
Je me croyais seul, et donc que ça ne pouvait pas être vrai... preuve ultime que je devais être soigné. On a toujours tord quand on est seul à avoir raison, et comme la psychiatrie à souvent tendance à isoler les patients...
Il existe un site qui traite d'un peu tout ça, je crois qu'il n'est plus en ligne mais quelqu'un en a fait une version en pdf ici :
https://collectif.club/zinzinzine/
Je crois que tu m'avais expliqué qu'à un moment ou tu te sentais mieux, ça avait été considéré comme un épisode maniac. J'ai eu ce même truc surréaliste avec une psychologue : alors que je venais de vivre une belle victoire, elle a trouvé que ça ressemblait à une "bouffée délirante" et m'a dit de prendre 10mg de risperdale. Quand je lui ai répondu que 10mg, c'était au dessus de la dose conseillée, elle m'a répondu que peu importe, qu'elle n'était pas psychiatre et moi non plus, alors 10mg ce serait très bien.
Je te raconte ça, parce que j'ai réfléchi pendant des années à son étrange réponse. J'étais sûr que ça devait avoir un sens que je n'arrivais pas à comprendre. Mais en fait il faut essayer de prendre les choses telles qu'elles sont, pour ce qu'elles sont, et mettre de côté le besoin de comprendre ou de trouver une explication satisfaisante.
D'une autre manière, j'ai été confronté à des comportements destructeurs, et le reflexe c'est toujours de chercher la logique, la justification, la justice. Alors on reste bloqué sur ce qui c'est passé, et le meilleur moyen d'avancer est en fait de passer à la suite.
Donc ne te prends pas la tête avec leurs erreurs, et essaie de ne pas rester sur des ressentis négatifs (pas simple, je sais). C'est injuste, c'est certain, alors libères toi des injustices en les racontant comme tu le fais, et laisse ça derrière pour revenir aux questions importantes : et maintenant je fais quoi, j'ai besoins de quoi, je veux quoi ?...
Comme tu dis, changer de vie, c'est ça l'important. Si un suivi en addicto aurait été bien mais qu'il n'y a pas moyen, alors il faut trouver autre chose. Et ça redeviendra peut-être une option plus tard.
Pour ta mère, je ne veux pas te dire de bétises puisque je ne la connais pas, mais j'ai vécu moi aussi plein de situations différentes avec ma famille, et souvent contradictoires. On a généralement besoin de nos proches, surtout si on est isolé. Et sûrement qu'elle aussi a envie ou besoin d'une bonne entente avec toi. C'est pas facile, mais garde ce qui est bon pour votre relation, et mets à distance ce qui ne l'ai pas. Si tu peux te confier à elle, qu'elle t'apporte du réconfort, et que ça te fait du bien d'aller passer un moment simple, sans prise de tête, à lui ranger son bois en lui rendant service... Encore une fois prends les choses comme elles viennent. Il n'est pas question de n'en vouloir à personne, mais juste d'aller vers ce qui est bien et positif. pour garder ton energie pour avancer. "trouver une femme faire des enfants", et j'y ajouterai une petite maison et des vacances sympa, un boulot/salaire correcte et des raisons d'être heureux !
Alors pour les symptomes de sevrage, c'est pas génial. Pour moi le pire a été durant les phases de diminution. Pour le reste, acouphènes, douleurs, et le corps qui a été éprouvé par tout ça... Pas de solution miracle mais pour moi ça en vaut la peine.
Je pensais ne plus jamais pouvoir être heureux, et c'est ce que les psy m'avaient prédit. En fait, en bricolant la dopamine, les médocs bloquent les angoisses et aussi les joies.
Je suis passionné de musique, et pendant 17 ans je n'ai plus rien ressentie en en écoutant. Après l'arrêt du traitement, j'ai redécouvert ce plaisir là : écouter certains morceaux et en être transporté, pendant 3 minutes avoir la chair de poule avec une mélodie ou la voix d'une chanteuse... Et des choses plus banales, être content de voir une personne qu'on aime, de passer une soirée sympa, ou être joyeux parce qu'il vient de se passer un truc agréable et imprévu.
Retrouver ça, c'est inestimable.
A+, et tiens bon

- Mhnhg
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- Enregistré le : lundi 25 novembre 2024 23:33
Dyskinésie tardive suite à l'arrêt de neuroleptiques, anxiolytiques
Salut opmi, difficile de garder espoir, je me retrouve seul, je ne pense pas décompenser mais j'insulte et menace/souhaite la mort à mes proches donc ça va loin, je suis d'un caractère qui relativise tout et énormément mais la même si extérieurement je suis très calme comme à mon habitude je sature. Ma mère est devenu très **** et bizarre...elle dit rien...elle se contente d'un ou deux mots par SMS et en vrai elle est détestable, orgueilleuse et surtout très caractériel, en fait, j'ai eu deux parents extrêmement narcissique et très caractériel,
La je sature dans le sens où je perds espoir et je me dit qu'au pire si ça se trouve ça ne s'arrêtera jamais, et en même temps, je n'abandonne pas, je ne sais pas ce que c'est que d'abandonner, donc je me bats, les heures sont longues, le corps est éprouvé, je m'ennui et je passe mon temps à vaper/écouter de la musique ou je ressens tien, c'est médiocre,
Je me console avec des achats (la j'ai commandé une deuxième machin a laver
) et en accumulant comme ça le jour où je peux faire autre chose je n'aurais plus a me soucier du matériel
L'exemple du 10mg ça résume très mal malheureusement ce qu'on vit/ ce que tu as vécu, des gens du je m'en foutisme totale, qui ne savent même pas ce qu'ils prescrivent, ce qu'ils font, et ça me surprend encore, comment une psy peut en avoir rien à faire à ce point? Enfin...c'est ce que tu dis, dans la vie ne pas se poser de question il se passe ça ok je fuis ok je rejette, et une bonne nouvelle je prend, sans chercher plus loin, en restant centré sur nous nos intérêts (logement revenu passion...)
Pour la dopamine c'est exactement ça...objectivement c'est justement ce qui rends malheureux : vivre sans plaisir...mais le but c'est de sédater, c'est barbare... Une pathologie, sédater = un problème en moins et on espace les rdv...il n'y a aucune humanité la dedans
La je sature dans le sens où je perds espoir et je me dit qu'au pire si ça se trouve ça ne s'arrêtera jamais, et en même temps, je n'abandonne pas, je ne sais pas ce que c'est que d'abandonner, donc je me bats, les heures sont longues, le corps est éprouvé, je m'ennui et je passe mon temps à vaper/écouter de la musique ou je ressens tien, c'est médiocre,
Je me console avec des achats (la j'ai commandé une deuxième machin a laver
L'exemple du 10mg ça résume très mal malheureusement ce qu'on vit/ ce que tu as vécu, des gens du je m'en foutisme totale, qui ne savent même pas ce qu'ils prescrivent, ce qu'ils font, et ça me surprend encore, comment une psy peut en avoir rien à faire à ce point? Enfin...c'est ce que tu dis, dans la vie ne pas se poser de question il se passe ça ok je fuis ok je rejette, et une bonne nouvelle je prend, sans chercher plus loin, en restant centré sur nous nos intérêts (logement revenu passion...)
Pour la dopamine c'est exactement ça...objectivement c'est justement ce qui rends malheureux : vivre sans plaisir...mais le but c'est de sédater, c'est barbare... Une pathologie, sédater = un problème en moins et on espace les rdv...il n'y a aucune humanité la dedans
- opmi
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- Enregistré le : mardi 22 octobre 2024 1:23
Dyskinésie tardive suite à l'arrêt de neuroleptiques, anxiolytiques
Salut,Mhnhg a écrit : ↑lundi 27 janvier 2025 22:43Salut opmi, difficile de garder espoir, je me retrouve seul, je ne pense pas décompenser mais j'insulte et menace/souhaite la mort à mes proches donc ça va loin, je suis d'un caractère qui relativise tout et énormément mais la même si extérieurement je suis très calme comme à mon habitude je sature. Ma mère est devenu très **** et bizarre...elle dit rien...elle se contente d'un ou deux mots par SMS et en vrai elle est détestable, orgueilleuse et surtout très caractériel, en fait, j'ai eu deux parents extrêmement narcissique et très caractériel,
La je sature dans le sens où je perds espoir et je me dit qu'au pire si ça se trouve ça ne s'arrêtera jamais, et en même temps, je n'abandonne pas, je ne sais pas ce que c'est que d'abandonner, donc je me bats, les heures sont longues, le corps est éprouvé, je m'ennui et je passe mon temps à vaper/écouter de la musique ou je ressens tien, c'est médiocre,
Je me console avec des achats (la j'ai commandé une deuxième machin a laver) et en accumulant comme ça le jour où je peux faire autre chose je n'aurais plus a me soucier du matériel
L'exemple du 10mg ça résume très mal malheureusement ce qu'on vit/ ce que tu as vécu, des gens du je m'en foutisme totale, qui ne savent même pas ce qu'ils prescrivent, ce qu'ils font, et ça me surprend encore, comment une psy peut en avoir rien à faire à ce point? Enfin...c'est ce que tu dis, dans la vie ne pas se poser de question il se passe ça ok je fuis ok je rejette, et une bonne nouvelle je prend, sans chercher plus loin, en restant centré sur nous nos intérêts (logement revenu passion...)
Pour la dopamine c'est exactement ça...objectivement c'est justement ce qui rends malheureux : vivre sans plaisir...mais le but c'est de sédater, c'est barbare... Une pathologie, sédater = un problème en moins et on espace les rdv...il n'y a aucune humanité la dedans
je t'ai envoyé un mail à ton adresse.
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