J’ai fait un de ces rêves bizarres, où mon cerveau a créé une dizaine de visages d’individus inconnus que je n’avais jamais croisés ou rencontrés !
Un peu complexe à raconter…
Je me trouvais dans l’entrée d’un immeuble, j’avais profité que quelqu’un en sorte pour pouvoir y entrer, car je n’avais pas le code. À la sortie du type qui me permet d'entrer, il y a un chat noir avec le bout de la langue qui pendouille, quand il a la bouche fermée (oui, la gueule, OK), on échange 3 ou 4 mots rapides avec le monsieur, à propos du chat, bon, le chat arrive vers moi et il voulait tout plein de caresses, ce qui m’arrangeait, car moi, je désirais caresser un chat tout plein de fois aussi.
Mais qu’est-ce que je foutais là ? Un immeuble dans lequel je n’ai rien à y faire, je ne connais personne, il n’existe pas en vrai, je ne sais pas dans quelle ville je pouvais me trouver, c’est vous dire !
Les rêves sont débiles, chez-moi, souvent, c'est comme si je regarde une chaîne et que quelqu’un change de chaîne, d’un coup, il y a des trucs qui ne collent plus et n’ont pas de liens.
Exemple, il y avait tout en haut d’un immeuble, l’acteur Tony Shalhoub, qui joue dans la série « MONK » (que j’adore, vus et revus les épisodes une dizaine de fois). Il était au bord, prêt à tomber, avec une machine dont j’ignorais l’utilité, mais il était quand même attaché à une barrière pour éviter de chuter.
Bon, toujours dans cette cage d’escaliers, voilà que je me retrouve chez une femme et sa jeune fille. Dans la vraie vie, ce serait impossible !!! Et le chat noir aussi est chez-elles.
Bien que mon histoire ne soit pas nette du tout, elle va être encore plus floue ! Je sais que je n’étais pas un intrus chez cette femme, j’y suis resté assez longtemps, elle était super sympa et sa fille aussi. Et je le lui dirai même, à un moment, « Je suis resté aussi longtemps chez vous parce que vous êtes très sympathique ». Absolument impossible de prononcer ça en vrai, argh, phobie et tout…
Après, ce ne sont que des flashs, on n’est plus dans un « film » qui se déroule tranquillement, mais dans des images qui jaillissent, exactement comme si, dans le noir, on ne pouvait voir qu’au moment d’un flash d’appareil photo.
Je vois une chaîne à la porte d’entrée, comme souvent dans les films ricains, une chaîne que l’on met pour entrebâiller la porte et que si quelqu’un veut entrer, ben, il faut refermer la porte, ôter la chaîne avant de rouvrir la porte. Je saurai plus loin pourquoi je vois ça...
J’ai un pot de yaourt vide à l'intérieur duquel le chat noir va se coucher. Eh oui, c’est un rêve, tout est possible, même si je ne gagne jamais mille milliards au loto…
La fillette me montrait des dessins tout colorés qu’elle avait faits.
Là, je revois Tony Shalhoub, il est sur le point de tomber, mais il se rattrape de justesse vu qu’il est attaché. Et il y a un homme avec lui, qui n’est pas attaché. Il vacille et tombe sur le dos. Je me dis « Il est mort » et en fait non, il souffre du dos, normal, mais il est conscient quand même.
La machine de Tony Shalhoub va s’avérer utile, car elle permettra à l’homme de se relever… Effectivement super utile, il devrait breveter cette invention !
L’homme se trouve être le mari de la femme et donc le père de la fillette (hein ?).
On passe au flash suivant, j’aperçois le voisin de palier, un homme avec une grosse barbe touffue. Il est responsable de la chute du mari / papa de la famille que je squatte. Il a l’air méchant, il tente même de s’introduire chez-eux et là, je me rends compte que la chaîne de la porte n’est plus attachée, il n’y a plus la pièce fixée au mur qui permet de bloquer la porte, et en plus c’était sa seule « serrure », il n’y en avait pas d’autre, juste cette chaîne. Du coup, le voisin commence à actionner la poignée chromée de la porte, et moi, pour qu'il ne pénètre pas, je tiens vraiment très fort celle-ci pour éviter qu’elle ne pivote. Je réussis à maintenir la porte fermée.
Flashes rapides que je ne peux décrire plus que ça, un appel aux flics… un autre voisin qui sort de chez lui dont tout le monde se fout, car il ne fait rien que ça dans le rêve et disparaît aussitôt… L’autre, le méchant barbu, rentre chez lui, moi, je tente aussi de m’y introduire… La porte s’ouvre sans forcer, le mec habite avec un jeune garçon (aucun rôle dans mon rêve à part être là et puis être jeune et aussi être un garçon)… Tout petit appartement, en fait, on dirait même que c’est une seule pièce, petite comme une chambre, d’ailleurs, il y a bien deux lits !...
Flashes, encore plus rapides, tellement, même, que ça m’est impossible de décrire convenablement, et celles et ceux qui ont payé leur place pour découvrir ce récit vont crier au scandale et demander à être remboursés, mais je tente quand même… Le barbu est là et ne s’oppose pas à ma venue… Il a l’air d’être dans la Lune, ailleurs, comme s’il ne me voyait pas… La police arrive par les escaliers, ils sont trois. Je leur explique toutes les bizarreries au sujet de ce voisin. L’homme et la femme, chez qui j’étais, sortent de chez-eux et confirment tous mes dires… Et je me retrouve dehors, devant la porte que j’avais franchie sans taper le code, au tout début. Il y a une histoire qui traîne dans les airs, il faudrait (je ne sais pas pourquoi) trouver l’entrée d’une pharmacie, mais il faut aussi trouver
LA pharmacie ! (tiens, en tapant ça, je me rappelle qu’il faut que j’aille à la pharmacie, il me manque des médicaments, c’est peut-être ça ?)… Et je la trouve, il suffisait de ne pas regarder pour la voir ! Ça a l’air débile, mais il fallait regarder « à côté » pour que la pharmacie soit visible au coin de l’œil !... Je me rappelle même que la croix verte illuminait le mur du bâtiment. Comment ne l’avais-je pas remarqué avant ?... Je vois des tas d’immeubles autour de moi, tous extrêmement hauts. Là, je me dis que le mec qui est tombé tout à l’heure, c'est un miraculé !...
C’est tout, monsieur le juge ! Après ça, plus rien…
