Neurosciences de la dépression

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Labo
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Neurosciences de la dépression

Message par Labo »

Il semblerait que la dépression soit une dégénérescence, c'est-à-dire une mort des récepteurs et des connexions synaptiques et dentritiques.

Vous en pensez quoi ?
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clémentine
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Message par clémentine »

@Labo :jap: et bienvenue

Non, je n'ai jamais entendu parlé de ça ni lu.
Il y a "juste" des réductions d'échange au niveau des synapses et c'est réversible d'après ce que j'en sais et la recherche cherche encore à trouver encore des solutions thérapeutiques efficaces et il y a plusieurs types de dépressions.

Sinon, on perd tous des neurones tout au long de notre vie mais il existe aussi une neurogénèse également tout au long de notre vie.

Rassure toi, c'est certainement d'une autre maladie dont tu parles.
Où as-tu lu ou entendu ça ? Es-tu atteint toi-même d'une dépression ?
bonne journée
vibou
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Message par vibou »

Des chercheurs ont identifiés plusieurs biotypes de dépression nerveuse.
Un article traduit par translate google :

https://www-nature-com.translate.goog/a ... _tr_pto=sc
vibou
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Message par vibou »

vibou a écrit : mardi 10 septembre 2024 19:57
Des chercheurs ont identifiés plusieurs biotypes de dépression nerveuse.
Un article traduit par translate google :

https://www-nature-com.translate.goog/a ... _tr_pto=sc
Un article de vulgarisation plus facile à lire :

Une étude identifie six types de dépression à l'aide d'analyses cérébrales, promettant un traitement sur mesure
Des chercheurs ont identifié six sous-types biologiques distincts de dépression, révolutionnant potentiellement la manière dont les traitements sont adaptés aux patients. Cette découverte pourrait en effet contribuer à fournir des soins plus efficaces et mieux adaptés à chaque cas, en particulier aux personnes souffrant de dépression résistante au traitement.
« Dans un avenir pas si lointain, une évaluation préalable de la dépression pourrait inclure une analyse cérébrale rapide pour identifier le meilleur traitement. » Tel est le constat de chercheurs de l'Université de Stanford au regard de leur récente découverte. Grâce à une technique d’imagerie cérébrale connue sous le nom d’IRM fonctionnelle réalisée auprès de patients souffrant de dépression et au recours à l’intelligence artificielle, ces derniers affirment avoir identifié de manière inédite six sous-types biologiques (ou biotypes) de dépression, de même que les médicaments existants susceptibles de traiter trois de ces biotypes précis. L’étude publiée dans la revue Nature Medicine est présentée comme historique car elle pourrait changer l’avenir du traitement de ce trouble mental courant qui touche 5% des adultes à l’échelle mondiale selon l’OMS. Et pour cause, environ un tiers des personnes souffrant de dépression ne répondent pas aux antidépresseurs les plus couramment prescrits, conduisant au diagnostic de dépression résistante au traitement. Pour ces personnes, la recherche de nouveaux traitements efficaces donc une priorité.

En effet, l’Inserm souligne à ce sujet que « de manière générale, après 8 semaines d’un traitement médicamenteux bien conduit, un tiers des patients présentent une rémission complète des symptômes, un tiers des patients présentent une rémission partielle et un tiers ne répondent pas du tout au traitement. » C’est pourquoi Leanne Williams, auteure principale de l'étude et directrice du Center for Precision Mental Health and Wellness affirme que « de meilleures méthodes pour faire correspondre les patients avec les traitements sont désespérément nécessaires. Environ 30 % des personnes souffrant de dépression souffrent de ce que l'on appelle une dépression résistante au traitement, ce qui signifie que plusieurs types de médicaments ou de thérapies n'ont pas réussi à améliorer leurs symptômes. Et pour près des deux tiers des personnes souffrant de dépression, le traitement ne parvient pas à ramener complètement leurs symptômes à des niveaux sains. » Comment expliquer ce constat ? L’hypothèse est qu'il n'existe aucun moyen efficace de savoir quel antidépresseur ou quel type de thérapie pourrait aider au mieux un patient donné.
« C'est frustrant de ne pas avoir de meilleures alternatives à cette approche universelle »

Et pour cause, si la prise en charge des épisodes dépressifs est aujourd’hui bien codifiée « les médicaments sont prescrits selon une méthode d'essais et d'erreurs, de sorte que cela peut prendre des mois, voire des années, pour trouver un médicament qui fonctionne, si jamais cela se produit. Et passer autant de temps à essayer traitement après traitement, pour ne ressentir aucun soulagement, peut aggraver les symptômes de la dépression. Le but de notre travail est donc de trouver comment réussir du premier coup. C'est très frustrant d'être dans le domaine de la dépression et de ne pas avoir de meilleures alternatives à cette approche universelle. », ajoute l’experte. Pour mieux comprendre la biologie sous-jacente à la dépression, les chercheurs ont évalué 801 participants à l'étude qui avaient déjà reçu un diagnostic en utilisant la technologie d'imagerie connue sous le nom d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour mesurer l'activité cérébrale. Ils ont scanné le cerveau des volontaires pendant qu'ils étaient au repos et pendant qu'ils effectuaient des tâches testant leur fonctionnement cognitif et émotionnel.
Les scientifiques se sont concentrés sur plusieurs régions du cerveau et les connexions entre ces dernières, les études scientifiques précédentes ayant déjà établi qu'elles jouaient un rôle dans la dépression. En utilisant une approche d'apprentissage automatique connue sous le nom d'analyse groupée pour regrouper les images cérébrales des patients, ils ont identifié six modèles d’activité distincts dans des régions du cerveau connues pour jouer un rôle dans la dépression. Les scientifiques ont également assigné au hasard 250 des participants à l’étude pour recevoir l’un des trois antidépresseurs couramment utilisés ou une thérapie comportementale (concept selon lequel les pensées, sensations physiques et actions sont interconnectés et que les pensées et sentiments négatifs peuvent enfermer dans un cycle négatif) par la parole. Les patients présentant un sous-type, caractérisé par une hyperactivité dans les régions cognitives du cerveau, ont présenté la meilleure réponse à l'antidépresseur venlafaxine (communément appelé Effexor, de la famille des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline) par rapport à ceux présentant d'autres biotypes.
Une approche plus personnalisée selon les régions du cerveau concernées

S’ajoute à cela le fait que les participants qui présentaient un autre sous-type de dépression, lorsque le cerveau au repos présentait des niveaux d'activité plus élevés dans trois régions associées à la dépression et à la résolution de problèmes, ont obtenu un soulagement des symptômes grâce à la thérapie comportementale. A l’inverse ceux avec un troisième sous-type, avec des niveaux d'activité au repos plus faibles dans le circuit cérébral qui contrôle l'attention, étaient moins susceptibles de constater une amélioration grâce à la thérapie par la parole par rapport à ceux avec d'autres biotypes. Et pour cause, « les réponses à la thérapie comportementale selon les biotypes de dépression ont un sens selon les régions du cerveau concernées. », souligne Jun Ma, l'un des auteurs de l'étude. Autrement dit, la thérapie cognitive-comportementale enseigne les compétences nécessaires pour mieux résoudre les problèmes quotidiens, de sorte que les niveaux élevés d'activité dans ces régions du cerveau permettent aux patients présentant un certain biotype d'adopter plus facilement de nouvelles compétences.
Mais l’effet inverse peut aussi s’appliquer à savoir que les patients ayant activité plus faible dans la région du cerveau associée à l'attention et à l'engagement sont plus susceptibles de bénéficier des effets positifs d’un traitement médicamenteux dont le but est justement de remédier d'abord à cette activité plus faible pour ensuite leur permettre de tirer davantage parti de la thérapie par la parole. « À notre connaissance, c'est la première fois que nous parvenons à démontrer que la dépression peut s'expliquer par différentes perturbations du fonctionnement du cerveau. Essentiellement, il s'agit d'une démonstration d'une approche médicale personnalisée pour la santé mentale basée sur des mesures objectives de la fonction cérébrale. », font remarquer les chercheurs. Il a en outre été constaté que les différents biotypes sont également corrélés à différents symptômes. Par exemple, les personnes présentant des régions cognitives hyperactives du cerveau présentaient des niveaux d’anhédonie (incapacité à ressentir du plaisir) plus élevés que celles présentant d’autres biotypes et ont également obtenu de moins bons résultats dans les tâches de fonction exécutive.

Il s’avère également que les patients qui répondaient le mieux à la thérapie par la parole ont également commis des erreurs dans les tâches liées aux fonctions exécutives, mais ont obtenu de bons résultats dans les tâches cognitives. D’autres études sont toutefois nécessaires pour confirmer ces résultats, et ce sachant que l’équipe scientifique n’a pas exploré toute la gamme de la biologie cérébrale sous-jacente à ce trouble. « Notre étude s’est concentrée sur des régions du cerveau connues pour être impliquées dans la dépression mais il pourrait y avoir d'autres types de dysfonctionnement que l’imagerie n'a pas capturé pour l’instant. », soulignent-ils de fait. La prochaine étape consistera notamment à élargir le nombre de participants de même que tester davantage de traitements contre les six biotypes mis en avant, y compris des médicaments qui ne sont pas traditionnellement utilisés pour traiter la dépression. Enfin, il s’agira aussi d’inciter des psychiatres à encourager la prescription d’examens d’imagerie à leurs patients, aussi bien pour déterminer le type de dépression en cause que pour suivre ensuite la réponse au traitement proposé.
le 18/06/2024

https://www.femina.fr/article/une-etude ... sur-mesure
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clémentine
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Message par clémentine »

Hello @vibou

Merci pour ce pavé difficilement lisible. Il me faudrait un IRM. :autop:

As-tu idée de quels médicaments ils parlent quand ils disent:
"des médicaments qui ne sont pas traditionnellement utilisés pour traiter la dépression" ?
ça pourrait être utile pour mon TOC. Bien que je sache que la sertraline est le mieux pour les troubles anxieux.
La Kétamine par exemple mais qui ne me correspondra pas.

:zenzen: Bonne nuit
vibou
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Message par vibou »

:bye: @clémentine

Je ne sais pas de quels médicaments dont il pourrait s'agir.

Il y a un bon résumé de l'étude que l'on peut écouter sur ce lien de France inter :

https://www.radiofrance.fr/franceinfo/p ... le-9343830
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clémentine
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Message par clémentine »

:jap: @vibou,

J'ai écouté. Pour du coup c'est light, c'est un sacré résumé lol.


- Certaines dépressions se soignent par une TCC et peuvent se faire en ligne, je ne savais pas que ça existait ni que ça existait en ligne.

Elles seraient tout autant efficaces en ligne qu'en présentiel et ça soignerait plus de gens qui en font une que les traitements médicaux.

Tout ça au conditionnel, c'est le web.

Je me demande où, il faudrait que je regarde. Elles sont moins coûteuses en ligne.


- Moi j'en ai fait une pour éviter les récidives de la dépression et qui ne peut soigner la dépression, la MBCT (thérapie cognitive basée sur la

méditation) comme tu le sais. Et elle a super bien fonctionné pour moi.

Et c'est différent.

J'ai fait quelques recherches.


On a perdu @Labo


Ils reparlent de l'écriture thérapeutique (en écrivant à ma psy et on reprend en séance) et ça fait partie de l'art-thérapie.

:zenzen:
Labo
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Message par Labo »

Vous pensez quoi de l'utilisation de psychédéliques pour traiter la dépression ?
Je sais que la ketamine est maintenant prescrite pour les dépressions sévères résistantes.
En Suisse le lsd est utilisé en dernière intention sur les dépressions.
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clémentine
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Message par clémentine »

Oui, et nous en avons déjà parlé dans ce forum de tout ça, fais une recherche, en haut à droite à search, c'est pour les recherches sur le forum.

Mais nous ne savons pas, pas de vrais témoignages et nous ne connaissons pas de recherches vraiment positives et plus nous ne sommes pas

médecins.

J'ai juste lu que oui ça se faisait au moins en Suisse pour le LSD, en Australie aussi .

Il y a aussi les champignons hallucinogènes, la psilocybine. Là les recherches sont promettantes mais on nous dit ça régulièrement.

Tout cela est fortement encadré par des spécialistes.

Tout ça, ça m'étonnerait que tu aies des médecins que te prescrivent ça en France, à part la kétamine je crois et encore dans un hôpital,

mais ce que j'ai lu un peu partout est décevant.

@vibou pourrait aussi peut-être te renseigner plus que moi.

Bonne journée :zenzen:
vibou
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Message par vibou »

Labo a écrit : samedi 14 septembre 2024 12:51
Vous pensez quoi de l'utilisation de psychédéliques pour traiter la dépression ?
Je sais que la ketamine est maintenant prescrite pour les dépressions sévères résistantes.
En Suisse le lsd est utilisé en dernière intention sur les dépressions.

Une étude sur l'utilisation de la psilocybine va ou vient de débuter à Paris :
https://www.ghu-paris.fr/fr/actualites/ ... resistante

On peut même postuler à condition d'être de la région parisienne :
https://comp006-fr.researchstudytrialeu ... consent=no
vibou
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Message par vibou »

clémentine a écrit : samedi 14 septembre 2024 11:12
:jap: @vibou,


- Certaines dépressions se soignent par une TCC et peuvent se faire en ligne, je ne savais pas que ça existait ni que ça existait en ligne.

Elles seraient tout autant efficaces en ligne qu'en présentiel et ça soignerait plus de gens qui en font une que les traitements médicaux.

Je me demande où, il faudrait que je regarde. Elles sont moins coûteuses en ligne.
En ligne cela doit être des consultations vidéo d'un psychologue TCC ?
Sur doctolib c'est indiqué.
Labo
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Message par Labo »

Ah OK super intéressant et vous souffrez de dépression vous ?

Je savais pas qu'il y avait des études cliniques de la psylocibine en France.

Vous avez déjà essayé les psychédéliques ?

Voici un article super intéressant sur le sujet que j'avais lu il y a un an : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6149016/
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clémentine
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Message par clémentine »

vibou a écrit : samedi 14 septembre 2024 22:09
En ligne cela doit être des consultations vidéo d'un psychologue TCC ?
Sur doctolib c'est indiqué.
Oui, c'est indiqué sur doctolib, j'en ai vu quelques uns mais lesquels sont recommandés, comment savoir lesquels prendre et à qui faire confiance ?
Pas évident.
Sur ce forum, je n'ai vu personne qui en a fait une et qui peut témoigner.
vibou a écrit : samedi 14 septembre 2024 22:02

Une étude sur l'utilisation de la psilocybine va ou vient de débuter à Paris :
https://www.ghu-paris.fr/fr/actualites/ ... resistante

On peut même postuler à condition d'être de la région parisienne :
https://comp006-fr.researchstudytrialeu ... consent=no
oui, et c'est dans le cas de dépressions résistantes.
C'est la seule drogue qui me parait être une piste sérieuse la psilocybine.
C'est encore au niveau de la recherche et toujours sur Paris...
Labo
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Message par Labo »

Y a beaucoup d'études sur les psychédéliques dans le monde mais très peu en France.

J'ai regardé le documentaire "voyage au confins de l'esprit" y a un an et c'était vraiment chouette.
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Lacroix
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Message par Lacroix »

Bonjour,

j'ai lu l'article de vulgarisation, c'est très encourageant pour nous, merci pour le partage.

Il faudra que je lise celui en anglais, ça a l'air intéressant. J'ai aussi pris How to change your mind.

Ça serait bien d'avoir une ordonnance pour de la dmt, si on peut voir les machine elves et guérir en même temps franchement ça vaut le coup x))
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clémentine
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Message par clémentine »

:jap:

Hier soir, sur TMC à l'émission Quotidien, il y avait Dominique Nora, journaliste qui parlait de son livre sur les thérapies avec des psychédéliques

pour la dépression, mais pas que, pour l'alcoolisme aussi. LSD, MDMA, champignons hallucinogènes.

Si vous voulez un replay, il faut regarder toute l'émission sur le site de TF1. Je n'ai pas trouver de replay sans connexion.

Elle a parlé également de son expérience de "voyages" thérapeutiques avec des psychédéliques accompagnée d'un psychothérapeute alors

qu'elle était déprimée.

Les essais cliniques à Sainte-Anne viennent de commencer, il y a 6 mois.

Il y a beaucoup de contre-indications à ces thérapies.

Il y a quelques pages à feuilleter dans son livre :

https://www.grasset.fr/livre/voyage-dan ... 246838388/
vibou
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Message par vibou »

Combien durait l'émission ?
Il semblerait que l'on puisse voir une partie :
https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-y ... 30169.html
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clémentine
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Message par clémentine »

@vibou J'ai un VPN, un réseau privé virtuel, pour me protéger, pour ne pas qu'on me suive, j'avais bien vu cette image, merci, mais cette vidéo n'est pas permise dans le pays où j'avais mon IP virtuelle, je ne pouvais voir les extraits, c'est pour ça !!!!!
Ok, ça m'étonnait aussi.

Elle intervenait sur d'autres sujets, tu as là tout ce qu'il y avait sur les psychédéliques, j'ai pu écouter là . L'émission dure 2h, de 19h et quelques jusqu'à 21h et quelques.

Quand j'ai repris la méditation, c'est bien ça, je faisais des transes, elle en parle. Mais, je n'y arrive plus, c'est vraiment dommage.
vibou
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Message par vibou »

clémentine a écrit : samedi 15 mars 2025 21:00
@vibou J'ai un VPN, un réseau privé virtuel, pour me protéger, pour ne pas qu'on me suive,
Un VPN ? Tu es plus dégourdie que moi en informatique. :rire2:
Dans son livre, Dominique Nora parlait effectivement des transes.
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clémentine
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Message par clémentine »

Honnêtement, ce n'est pas très difficile à installer ce VPN, c'est plus simple que ce que je croyais.

Oui, j'ai eu un peu peur de ce que j'ai vécu mais ma psy a souri quand je lui ai raconté.
Mais !!!! j'ai raté quelque chose, tu as déjà lu ce livre ?
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