Que ce soit le valium ou le tranxene, le resultat est toujours le meme.

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forrez
Messages : 7
Enregistré le : mardi 01 janvier 2008 18:20
Localisation : seine et marne

Que ce soit le valium ou le tranxene, le resultat est toujours le meme.

Message par forrez »

Que ce soit le valium ou le tranxene,
le resultat est toujours le meme.
Medicaments magiques,
qui apaisent les esprits hysteriques.
C'est devant toi que je me pame,
il n'y a que toi qui me calme.
Je te prends par poignées.
Je te prends comme bouclier.
J'ai besoin de toi,toi ma flamme,tu connais l'horreur de mes idées meurtries;
toi seul sait la pourriture de ma vie.
Mon doux et bel ami,mon égérie,
de tes propriétés,je te remercie.
Tu es l'ange de mes foutus démons,
je me donne à toi,définitivement,pour de bon.NOV 2006.
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Archaos
Fondateur/Administrateur
Messages : 17845
Enregistré le : mardi 06 juin 2006 21:20

Message par Archaos »

:console:

J'ai remis un peu en page ton poème pour qu'il soit plus lisible :fleur:
Accueillez de temps en temps les nouveaux membres qui prennent la peine de se présenter dans le topic unique de présentation.
Une question ? La réponse se trouve probablement ici : Charte , FAQ, Guide du forum.
Pour un forum agréable à lire, ne faites pas de citations inutiles !
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helene
Messages : 26
Enregistré le : vendredi 13 avril 2007 16:51
Localisation : Seine et Marne

Message par helene »

:bisouss:
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forrez
Messages : 7
Enregistré le : mardi 01 janvier 2008 18:20
Localisation : seine et marne

poemes de forrez

Message par forrez »

Hormis les chats,je n'aime rien,je n'ai envie de rien.Théophile Gautier. :fleur21:
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Agr[e]²d
Messages : 64
Enregistré le : mardi 18 décembre 2007 0:17
Localisation : Poitiers

Message par Agr[e]²d »

En parlant de chats et de poésie, à mon sens une des plus belle décalration d'amour que l'on puisse faire à un chat, je connaît ce poème par coeur,
Charles Baudelaire, Le Chat II, Les Fleurs de Mal

De sa fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux, qu'un soir
J'en fus embaumé, pour l'avoir
Caressé une fois, rien qu'une.

C'est l'esprit familier du lieu;
Il juge, il préside, il inspire
Toutes choses dans son empire;
Peut-être est-il fée, est-il dieu?

Quand mes yeux vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant,
Se retournent docilement
Et que je regarde en moi-même,

Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux, vivantes opales,
Qui me contemplent fixement.
Aider tout ce qui est utile,
Attacher son nom à tout ce qui est bien.

Duc de la Rochefoucauld-Liancourt
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