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"Accepter l’adultère n’est pas une preuve d’amour, c’est une preuve de dépendance affective"
Cette sitation que j'ai lu il y a 2 jours résume parfaitement ma situation ou plus simplement ma vie. J'ai 36 ans et sa fait 30 ans que je vie dans cette dépendance. Cette dépendance ne se manifeste pas uniquement dans mes relations amoureuse mais également dans ma vie de tous les jours (travail, ami, relation...)
Toujours ce sentiment de vouloir existé, d'etre prêt à tout et n'importe quoi pour qu'on s'interesse à moi, de dire aux autres "coucou, je suis là...". Jusqu'à faire des choses qui vont à l'encontre de mes propres principes (accepter l'adultère?).
J'ai vécu jusqu'à présent trois histoire d'amour avec trois filles d'un caractère différents.
La première ma fait prendre conscience que j'avai des centres d'intérêt qui m'était propre: le dessin et l'art en général C'était ma première petite amie et on est resté a peu près 3 ans ensemble. Quand on c'est quitté j'étais effectivement tres affecté...Le monde s'écroulait mais je n'ai pas pris plus de considération à cette rupture.
Pour moi c'était limite normale vu notre jeune age. Encore maintenant il m'arrive de pensé à elle mais avec beaucoup de respect. Je pense qu'elle à jouer un role dans mon évolution personnel.
La deuxième, c'était ma femme. On est resté 8 ans marié et un enfant. Tout au long de notre union et grace à elle, j'ai pris conscience de ma dépendance affective. Avec elle, je n'ai jamais su me mettre en avant, affirmer ma personne. Elle était plus forte que moi, dominante...Je ne voulai pas l'affronté de peur du confli, de peur qu'elle me dise on arrete la. Je ne voulai pas etre abandonné, plus aimé, plus regardé.
Au bout de quatre ans il n'y avait plus d'amour (meme si moi je me persuadait de l'aimé) et pourtant je m'accrochait comme un toutou. J'espérait qu'un jour peut etre sa refonctionnerai. Mais les jours passaient, se ressemblaient et se dégradaient. L'amaour ce transformai peut à peut en mépris mais toujours dans l'unique but pervers d'entretenir ma dépendance affective qui au fil du temps se mutait elle meme en dépendance destructrice. Pourquoi ? Le besoin d'exister qui s'il ne pouvait plus etre dans l'amour pouvait encore l'etre dans la compassion....
A peu près deux ans avant notre divorce on a fait la connaissance d'un couple de l'immeuble. Au fil du temps j'ai pu tisser des liens d'amitié. Ces liens on été salutaire et grace à ce nouvelle "Ami" j'ai pu prendre le recul nécessaire et voir à qu'elle point j'avai sombré, à quelle point j'était prai à endurer n'importe quelle umiliation, a quelle point cette foutu dépendance m'avait ou allait me détruire. C'était un veritable cercle vicieu qu'il fallait coute que coute rompre. car plus je m'abaissait devant elle et plus (peut etre inconciament) elle profitait de la situation. L'aide exterieure de mes nouvaux amis à été capital et pour la première fois j'ai pris l initiative: On arrête ! On c'est effectivement séparé et sa a été un soulagemnt, une délivrance. Mais au bout de quelques temps se sentiment de solitude qui refait surface...
La troisième, je ne rentrerai pas dans les détails de notre rencontre (voir mon salon).La relation a commencé deux mois après ma séparation.
La rupture avec elle étant proche (j'espere pas) j'ai renouer malgré moi avec ma dépendance affective. J'en suis malade. Les même symptomes. Contrairement à mon ex-femme, pour nourir ma dépendance, cette fois si j'ai misé sur la carte de l'aide. Ma chérie aillant un passé similaire dans les grandes lignes au mien j'ai cru qu'en jouant le bon samaritain elle serai dépendante de moi et donc me preterai de l'attention. ERREUR. Ce qui était peut etre vrai au début c'est vite dégradé. Ne vivant que dans le besoin d'etre reconnu par l'autre, j'ai bien évidement occulté ses propres attentes. La, maintenant, je m'apperçoit que j'aurai du etre plus franc envers elle sur mon besoin d'etre aimé.
Etant quelqu'un qui se remet facilement en question, je pense avoir choisi la facilité avec ma chérie. Baisser les bras face à la dépendance. Ne pas prendre le probleme à bras le corps. Le problème qui fait que l'histoire se repete à l'infini.
Comme je l'ai dit au début, sa fait 30 ans que je traine mon fardeau et je sais au plus profond de moi que c'est se manque d'amour, de fierté, d'attention de la par de mes parents qui font que j'en suis la.
Quoi qu'il en soit je ne veut plus etre un figurant dans ma vie et d'ailleur pour ce qui sont dans cette situation, il faut que l'on se batte. On est tous aimable.
Je suis quelqu'un de bien et TOI.......aussi.
Cool je suis positif, mais c'est quand meme dur...
). Bref passe faire un tour ds mon salon si tu veux lire mon histoire (ou une partie) et n'hésite pas à poster
j'ai dû quitter mon copain 6 fois déjà en 4 mois, mais je craque s'il me retient, ou alors je le rappelle (comme cette semaine), car je l'ai dans la peau 
c'est très dur mais je me retiens de le contacter, j'ai été très patiente il ne me correspond pas du tout je le sais mais j'ai quand meme très mal.
