pro >> juste pour le coup la "vraie histoire du chat" c que dans sa boite on met un virus mortel qui tue 50% de la population affectée .... donc on ne sait pas si le caht est mort ou vivant, il a 1 chance sur 2 .....
donc tant qu'on a pas ouvert la boite le chat est vivant ET mort selon ce qu'on imagine ......
mais c quand meme vachement mieux le coup de jouer avec une balle je trouve
moi ce que je trouve beau c qu"au final, la philo, la théologie et les mathématiques (voir la physique) ne sont finalement que des approches différentes des memes questions : qu'est-ce que l'homme, d'ou vient-il et ou va-til ?
et peut etre nous on se pose plus facilement ces questions, meme à notre échelle .... ce qui nous rend des fois titrse de notre petitesse mais en meme temps grandit terriblement notre âme !!!
bon au final ....... on continue à débattre ? d'autres théorie ?
Vous l'attendiez tous voici la véritable interprétation de l'auteur qui concorde à 100%
Maybe…, explication :
Explication pas à pas, en fait l’élément qui échappe à tout le monde et je le comprend car j’y laisse très peu d’indices c’est la conception d’une entité qui est derrière tout ces évènements.Dans le premier chapitre cette dernière capte le pincement au cœur de Margaret et prend pitié de sa peine. L’entité va alors déclencher un orage électromagnétique qui va perturber le champ spatiotemporel.A ce moment il faut concevoir la notion de réalités parallèles, nous sommes dans la réalité numéro 1, dans cette réalité Margaret meurt suite à l’orage mais va vite se retrouver dans un entre-deux, les limbes.Le corps de Margaret meurt mais pas son âme, celle-ci va voyager dans le temps jusqu’en 1957.Mais alors pourquoi voit elle Chris qui est pourtant venu 7 mois plus tard ? Lors d’un voyage temporel le champ spatiotemporel est instable et pour se stabiliser il a besoin de balises émotionnelles tel que la visite de Chris.Pour le coup de téléphone ce n’est pas Tina mais l’entité qui cherche a guider Margaret dans son voyage de rédemption.Cette dernière se rend à l’hôpital sous une forme spectrale ça tout le monde l’as compris je pense, Tina mourante est capable de la voir car elle comme je le dis, mourante. Ensuite il y a ce docteur dans la salle d’attente, c’est de nouveau l’entité (on peut la concevoir comme une sorte de passeur aussi) qui prend une certaine forme pour continuer à guider Margaret. Elle retrouve Tina au cimetière pour des retrouvailles entre âmes. De leur réunion va alors se créer la réalité numéro 2, dans celle-ci Chris ne s’est jamais mis à boire, ils n’ont jamais eu cette accident en 1957, ils sont restés ensemble, ont eu un fils et tout se passe bien jusqu’en 1962.Chapitre 12 ,George se réveille et à l’illusion de la réalité numéro 1 dans laquelle Margaret meurt mais le docteur est là pour l’aider a passer le cap et accepter sa mort, oui sa mort car il doit exister un équilibre dans la mort et si Tina revient à la vie , une autre personne doit mourir, ce sera George. Lorsque qu’il lis le mot il prend conscience de sa mort et bascule en tant que fantôme dans la réalité numéro 2, la réalité numéro 1 est effacé.Voila si il reste pour vous des zones d’ombres je me ferai un plaisir d’y répondre.
J'attend vos réactions
Modifié en dernier par Tender Surrender le vendredi 14 mars 2008 20:28, modifié 1 fois.
Merci beaucoup pour vos compliments ,même si je sais pas trop, j'étais content de ma nouvelle puis là maintenant je sais plus , pas satisfait,il faut que j'en écrive une autre ,je suis sur que je peux faire mieux...
J'avais pas le courage de finir ta nouvelle, j'ai des gros problèmes de concentration, et sur le coup là, j'ai cru être en plein défragmentation cérebrale. Oups
C'est vrai que tu ne laisses pas assez d'indices si je puis me permettre. Mais alors quand tu comprends l'explication c'est... ben génial, c'est le mot. et procrastina n'avait pas tout à fait tort, il y a une logique quantique là dessous. ahaha explication des fluides temporels et des possibles
Merci beaucoup a tous ca me fait très plaisir,je poste une ancienne nouvelle, je ne sais pas si j'en posterai d'autres.bonne lecture
Max
-Bonne nuit ma chérie !
La mère embrassa son enfant avec délicatesse sur le front avant de se redresser et de se diriger vers la porte.Elle pris la poignée en main et répéta encore à Isabelle.
-Ne t’en fais pas on sera de retour dans la nuit tu peux dormir en paix .Dort bien mon ange !
-Merci maman…
Elle lui répondit avec un faible sourire.
Elle avait déjà treize ans mais c’est la première fois qu’elle allait rester seule chez elle.Cela faisait un petit moment que son anxiété grimpait en flèche.
De la ou elle était elle entendait son père appeler sa mère sur un ton empressé.
-DEPECHE TOI MARIE ON VAS ARRIVER EN RETARD.
Celle-ci descendit en trompe les escaliers.cinq minutes plus tard on entendit la porte claquer et un grand silence commencer a régner.
Isabelle avait un peu froid et se recroquevilla sous ses couvertures, elle n’était pas tranquille du tout.Pour se rassurer elle se pencha sur le coté de son lit pour caresser son chien confortablement installé dans son panier.Elle ne pouvait le voir dans l’obscurité mais elle sentait son doux pelage de fox-terrier sous ça petite main d’adolescente.La chaleur de cet être de huit ans la réconforta et elle continua de le caresser durant plusieurs minutes, c’était chaud et rassurant.
Elle commença alors à s’enfoncer dans les couvertures, l’anxiété était toujours présente mais moins forte grâce à Max.On le lui avait offert pour son 5ème anniversaire, elle se souvient encore du petit chiot qui avait jaillit de la boite avec de petits jappements la comblant de joie.Oui, heureusement qu’il était la.
Elle regardait autour d’elle et observait des poupées décrire des ombres sous l’effet de la tempête dehors, une véritable bataille avait lieu entre ces dernières, s’entrelaçant, se découpant.
Dehors il pleuvait avec beaucoup de force et le tonnerre grondait au loin.
Elle commençait à s’endormir progressivement et commençait à s’échapper dans ses rêves.
Elle était avec max, le jour de l’anniversaire de ses deux ans, une petite fête avait été organisé dans le jardin avec ses parents et elle s’en rappelle comme d’un jour heureux et un doux souvenir mais brusquement elle fut réveillé par le tonnerre qui s’était rapproché.D’abord déstabilisée, elle se rassura en entendant ce dernier s’éloigner de nouveau.
Isabelle se renfonça dans son lit encore plus profondément mais c’est alors qu’elle entendit un bruit anormalement régulier.
Elle se concentra et entendit.
« Plic, plic, plic »
Comme si un robinet était mal fermé ou alors la douche.
« Plic, plic, plic »
Impossible de s’endormir avec ce bruit de fond, elle releva les couvertures et posa les pieds au sol, celui-ci était glacé mais elle s’habitua vite et commença a marcher dans le noir par de petits pas vifs pour sentir le moins possible le froid.
Elle entra dans la salle de bain et regarda au robinet, celui-ci était fermé.
Même constat pour le pommeau de douche.
Elle comprit que dans sa semi torpeur elle avait dû mal entendre ou peut être était ce dehors.Elle se redirigea vers sa chambre se trébuchant au passage dans le noir et se recoucha bien au chaud sous les couvertures.
Elle se sentait déjà mieux mais toujours angoissée, elle se pencha alors vers Max pour le caresser, ce dernier releva la tête et lécha délicatement les doigts d’Isabelle.celle ci se mit a rire doucement sous l’effet de la caresse de la langue légèrement rugueuse contre ses doigts.Elle releva confortablement les couvertures sur elle.
« Plic, plic, plic »
-Oh non c’est pas vrai ça recommence !
Cette fois elle se concentra pour savoir d’où pouvait venir le bruit.ce n’était pas dehors .c’était…c’était a coté dans la chambre de ses parents !
Elle se releva alors et se dirigea vers la porte de la chambre en question qu’elle ouvrit.
Elle alluma la lumière de la chambre et fut d’abord tétanisé par la vision qui s’imposait a elle.Les yeux pétrifiés elle regardait pendu par les pattes arrières, max, son fox terrier.celui ci était largement égorgé et le sang coulait le long de la tête pour tomber sur le sol.
« Plic, plic, plic »
Isabelle dans un moment de lucidité frappant se tourna alors vers la porte de sa chambre et hurla d’horreur un cri qui transperça la nuit au delà de l’orage.
Non pas de suite, la force de cette nouvelle réside dans la brutalité de son arrêt.
Sinon merci beaucoup Pro
Mais pourquoi tu parle de ma voix en lisant une nouvelle?