Pour des tremblements dûs à mes autres médocs donc ça ne correspond pas à des troubles intestinaux, si c'est correct comme définition que j'ai cherchée sur le net pour la dyskinésie tardive.
Bonne soirée
Salut, dans mon cas il y a aussi eu une erreur de diagnostic. Ça fait 9ans que je suis traité au risperdal. Je vis très mal tout ça. On m'a prescrit un cocktail de neuroleptique pendant deux ans au tout début qui n'a jamais eu aucun sens. On m'a aussi prescrit du depakote, ils avaient beaucoup hésité avec la bipolarité, je me suis débarrassé du depakote. Aujourd'hui j'ai surtout besoin d'anti dépresseurs. Seul traitement que j'accepte vraiment car seul traitement qui me sois utile.opmi a écrit : ↑mardi 26 novembre 2024 11:36Bonjour à tous,
Atteint de dyskinésie tardive depuis 8 ans, je cherche désespérément une solution, sans résultat.
Y a-t-il des personnes qui ont l'expérience de quelque chose qui à fonctionné ?
Pour résumer le contexte :
Traitement médicamenteux durant 17 ans, à base d'antipsychotiques, neuroleptiques, anxiolitiques. J'ai arrêté se traitement il y a 9 ans (en 2017), et un an après la dyskinésie est apparue progressivement, d'abord génante puis insupportable après quelques mois.
En dehors de nombreuses recherches sur internet, j'ai consulté plusieurs médecins : généralistes, psychiatre, neurologues (2) ; ainsi que d'autres professionels : psychologues, acuponcteurs (2) et autres. Pour certains, il s'agit d'un problème psychiatrique necessitant un traitement psyciatrique, les autres diagnostiquent (ou supposent) une dyskinésie tardive induite par l'arrêt des neuroleptiques.
- On m'a prescrit plusieurs médicaments qui n'ont donné aucun résultats.
- On m'a "embarqué" dans des théories fumeuses afin d'expliquer le problème par d'autres causes et proposé des solutions diverses, sans résultats. - L'acuponcture a eu ponctuellement un effet positif, mais l'acuponcteur n'a pas souhaité poursuivre (pour des raisons que je ne connais pas). depuis, impossible de trouver un nouvel acuponcteur.
Voilà, merci d'avance pour vos idées, propositions...
Et enfin une question tout de même qu'est ce qu'il a décidé à arrêter ? La dyskinésie?opmi a écrit : ↑mercredi 15 janvier 2025 7:07Bonjour Mhnhg,
Ce que tu décris sur ton début de traitement, idem pour moi : un psy à passé 2 ans à me prescrire tout et n'importe quoi, tous les neuroleptiques/antipsychotiques y sont passés. Pour finir par du risperdal.50 médocs différents en 2 ans, et souvent à des doses supérieures aux doses maximales indiquées.
Pour la dépendance aux médicaments, ça me révolte : la science le confirme, la médecine l'admet plus ou moins, et les psychiatres disent le contraire.
Comme toi, les dossiers de mes 3 psy sont très incomplets, et celui de mon généraliste aussi.
Ma dernière psychiatre à dénoncé le diagnostic et m'a aidé à arrêter le traitement. Mais seulement après me l'avoir donné elle-même pendant 9 ans et elle n'a pas été capable de me dire pourquoi elle me faisait les prescriptions. Son meilleur argument pour le risperdal à été "ça vous détendait un peu".
Tu as raison, c'est dégeulasse, et pas de raison d'accepter ça.
Et à mon avis tu as raison de t'appuyer sur un médecin pour arrêter, et le service d'addicto peut peut-être aussi être utile. Vraiment, ce sont des produits dont la dangerosité est prouvée, alors il ne faut pas essayer de se débrouiller tout seul et se faire aider par ceux qui les connaissent.
En dehors de ça, pour moi zéro confiance envers les psy. Méthodes diagnostics non scientifiques, honnèteté variables, connaissances partielles et opinions arbitraires... Et j'en passe.
Moi aussi j'aimerais témoigner, mais je ne me sens pas capable de m'embarquer dans un procès alors qu'il le faudrait pour rendre justice.
Bonjour Mhnhg,Mhnhg a écrit : ↑vendredi 17 janvier 2025 16:45Salut, pas de soucis, mais c'est bien qu'on en parle ensemble après tout à plusieurs on est plus fort. D'ici à ce que tu puisse me réponde plus longuement j'espère vraiment que ça s'arrange ce problème de dyskinésie. Pour moi les psy, les infirmiers, aide soignant, sont juste bêtes, voir monstrueux. Le système est fou. On se sent tellement lésé et maltraité qu'on en vient à se demander si ce n'est pas calculé.
Salut, comme le dit notre ami, ne perds pas espoir, car en parcourant les forums on se rends compte que certains ont arrêté après 30 ou même 40ans, tout comme moi je l'imagine, imagine être sans neuro, te retrouver à retrouver justement toute ta tête, finalement, peu importe l'âge on s'en contrefou, ce qui compte c'est d'y arriver!!! Bon sang, ce que je veux y arriver aussi!!J-Chris a écrit : ↑jeudi 02 janvier 2025 20:31Bonjour à tout le monde,
Je relance le sujet, qui n'est pas trop ancien d'ailleurs, car les problèmes que je rencontre rejoignent la discussion. En fait, il semblerait que j'aie déclaré une dyskinésie tardive suite à un usage prolongé d'un neuroleptique (Solian, pendant 25 ans en gros) à des doses qui ont varié de 25mg à 100mg maxi en fonction des périodes. J'ai essayé plusieurs fois de me sevrer de ce médicament mais, à chaque fois, cela s'est soldé par des troubles neurovégétatifs insupportables (troubles gastro-intestinaux, nervosité, palpitation, anxiété) même en diminuant les doses très progressivement. J'avais réussi à arrêter 6 mois une fois mais j'étais dans un état tel que mon médecin m'a represcrit le Solian.
Il y a deux ans et demi, une psy a remplacé mon traitement (Solian+Sertraline) par un autre (Venlafaxine+Risperdal), cela a considérablement augmenté mon niveau d'anxiété si bien que cela devenait un état permanent qui nécessitait de fortes doses de benzodiazépines sans d'ailleurs d'effet suffisant. J'ai testé aussi l'Abilify à la place du Risperdal mais cela n'a rien amélioré. J'ai touché le fond début 2024 avant qu'on me redonne mon traitement initial (Solian 100mg + Sertraline 100mg/j puis 200mg/j).
Seulement, c'est en juin dernier que je me suis rendu compte que j'avais des mouvements compulsifs : crispations musculaires involontaires, un ensemble de tics très durs à contrôler - doigts, orteils-, bruxisme, mouvements de la mâchoire et de la langue si bien que j'en ai parlé à ma psy qui a d'abord pensé à un trouble extrapyramidal de type syndrome parkinsonien et m'a donné un correcteur (Lepticur) qui n'a absolument rien fait. C'est alors qu'en cherchant et en en discutant avec ma psy, l'hypothèse d'une dyskinésie tardive s'est dessinée. Ma psy ne peut pas dresser le diagnostic et m'envoie chez un neurologue (fin février). La dyskinésie tardive est dans la très grande majorité des cas irréversible et peut aller en s'aggravant si on n'arrête pas le neuroleptique en cause (cela peut aussi s'aggraver même en l'arrêtant). Cela ne se prend pas en charge du tout comme le syndrome parkinsonien, il ne faut surtout pas de Lepticur par exemple car il vaudrait mieux augmenter l'acétylcholine plutôt que de la diminuer comme le fait le Lepticur.
Enfin, bon, voilà mon problème : je dois voir le neurologue fin février et j'essaye d'arrêter le Solian, j'ai procédé très progressivement : il y a trois semaines, j'étais arrivé à 20mg et j'ai essayé d'arrêter complètement mais malheureusement, j'ai enduré des troubles plus que pénibles : malaise généralisé, hyperexcitation du système nerveux, fatigue, frissons, un peu d'anxiété, baisse de moral forte, que j'ai essayé de compenser avec du Lexomil sans grand succès. J'ai donc dû reprendre un peu de Solian (15mg 3 fois en 15 jours). Je ne sais plus quoi faire, j'ai l'impression que je n'arriverai jamais à m'en passer malgré le spectre de la dyskinésie tardive que le neurologue confirmera ou pas...
Merci de votre lecture et de vos éventuels témoignages et conseils.
Salut,Mhnhg a écrit : ↑mardi 21 janvier 2025 5:02Au fait, j'ai pensé à l'option (et je n'en ai pas honte c'est ni plus ni moins stratégique) : lors de la réévaluation si je suis diagnostiqué bipolaire (les psychoses sont les deux champs d'études de ces cher psychiatre) me contenter d'un traitement stabilisateur de l'humeur, au moins je pourrais ne plus être emmerdé par les neuro (même s'il faut passer par un sevrage) même si ces traitements ont aussi des ES. Qu'en penses-tu? Bien-sûr ce n'est pas moi qui le décidera totalement mais au moins je profite du fait que je sois détaché de tous diagnostic pour vivre concrètement,
C'est à dire qu'est ce que je prends pourquoi pendant combien de temps et surtout sans effets horrible comme un neuro, bref tu me semble intelligent donc je pense que tu sauras répondre intelligemment, sans doute! À rapidement! (N'hésite pas à me faire savoir comment tu te sens sans neuro, au niveau physique (énergie) au niveau intellectuel (cognition), l'accès aux émotions, à la pensée, à la réflexion, à la réaction, etc
Tu peux t'aider de plantes si un jour tu as un moins bien quelconque (rhodiola rosea, etc)