j'avais déjà donné mon avis en 2010 où je détaillais mon expérience avec mon assurance vie (et 2 ans après, mon "mensonge par omission" s'avère toujours le bon choix, je paie cette assurance avec grand bonheur pour rien du tout depuis 12 ans:
- que couvre cette assurance ? Si c'est uniquement les cas de décès, en général le suicide est exlu des remboursements (sauf erreur), dans ton cas ils ne vont pas couvrir ta perte de revenu éventuelle de toute façon car tu es déjà en statut longue maladie.
- pourquoi risquer une surprime pour une maladie qui sauf suicide n'est pas mortelle ?
Conclusion, je ne déclarerais pas la moindre chose à l'assurance au niveau dépression si c'est possible (et j'essayerais d'avoir un assureur non lié à la banque prêteuse (pour éviter des fuites du genre: il dit qu'il va bien mais quand je regarde son compte il touche une indemnité de longue maladie (ce qui serait illégal, mais quand on est à la fois le banquier et l'assureur une fuite n'est jamais exclue). Le but: éviter une surprime inutile, en cas de décès lors d'un accident (volontaire ou pas, vous voyez ce que je veux dire), éviter que l'assureur n'aie un prérequis immédiat que la mort est un suicide et s'en servir pour ne pas indemniser les héritiers (même si c'est un accident à 100%), et puis combien de suicides réels ne finissent-ils pas par être classé comme accident et indemnisés à tort (pour la famille, c'est moralement mieux et pour leurs finances aussi). D'accord ce n'est pas d'une honnêteté à 100% loin de là (mais au moment ou on en tire "profit", on est mort alors..., et les assureurs ne sont pas des saints non plus, oeil pour oeil, dent pour dent.
C'est un risque, mais le but étant quand même d'être vivant et de tout rembourser au grand bonheur du prêteur, il est malheureux de partir de l'idée qu'un jour cette assurance sera utile, il vaut mieux la payer pour rien

, tout le monde est content: le banquier, l'assureur, la famille,...
