Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 1

[No_answer]

Coucou leo. Je te conseille de ne pas stresser, parce qu'un jour tu as bien été amoureuse de lui.
Et à moins d'hair quelqu'un, il y a toujours moyen de refaire rennaitre l'amour, de même quand celui-ci s'étouffe on peut le faire revenir plus fort. . .

Je sais pas vous, mais moi j’accepte toutes ces idées du toc. . .
A vous voir, dès que vous avez une pensée qui vous dérange vous la mettez immédiatement sur le dos du toc. . .
Moi je préfère ne pas réagir comme ça. . . Me dire que c'est peut être vrai après tout. . . que c'est pas un toc mais moi qui me voilela face . . .
Moi je toc à mort sur une pensée que j'ai eu " tu l'aime moins qu'avant et tout ce que t'as cru ressentir jusque là c'est du pipeau " ce qui est peut être vrai, parce que je me dis qu'avant que j'ai ce toc j'étais beaucoup plus sereine, j'étais toujours souriante dans ses bras, on se taquinait beaucoup. . .
Fin bref . . .

Mais je crois savoir pourquoi je pense ça. . .

[Pauline04]

Tu sais No_answer, parfois, je ne mets pas mes pensées sur le dos du toc, au contraire. Je réagis parfois exactement comme tu le décris, à savoir que c'est peut-être vrai, et que je me suis voilée la face. Comme si j'avais une vague de ras le bol qui naissait au fond de moi. Comme si je baissais les bras, plus de force, plus envie de lutter. Je pense que c'est le stade ultime du toc et de l'angoisse qui l'accompagne. Je sais pas si vous connaissez le poème de Baudelaire, dans le Spleen, qui commence par "Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle..." Le poème se termine sur ces vers :
"Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir."
C'est ça que je ressens. Je suis vaincue par l'angoisse et le dégoût. Je suis à bout. Seulement voilà, dans ces moments là, je suis abattue, plus triste que jamais. Si c'était vrai que je n'aimais plus mon copain ou que je sois lesbienne, et que j'arrivais enfin à voir que la façon dont je vis ne me rends pas heureuse, je pense que je serai soulagée d'une certaine façon. Bon évidemment, si le toc est vraiment vicieux, il trouve une faille et alors je me dis "hum, mais est-ce que tu serais pas soulagée, par hasard ?" Mais ça, ça m'angoisse. Donc, ça n'est pas net. Je suis tellement mal face à ces pensées, et elles sont tellement obsédantes que je ne peux pas, en fin de compte, me dire que je me suis voilée la face. J'ai l'impression, lorsque je me dis que tout ça peut être vrai, que je ne suis pas moi, que mon esprit et mon corps ne collent pas. Et puis mon psy me répète inlassablement que ce sont des tocs, des angoisses et que les personnes qui n'aiment plus leurs conjoints ou se découvrent homo ne réagissent pas comme ça. Déjà, ceux qui n'aiment plus leurs conjoints sont souvent agressifs envers eux. Ils ne se disent pas "mais pourvu que je me sente à nouveau bien dans ses bras ! Pourquoi je ne ressens plus rien ?". Ils n'ont pas envie de chialer face au vide sentimental qu'ils ont l'impression de ressentir.

Pour ce qui est de ce qui tu dis à la fin de ton message, je crois que c'est justement la preuve que c'est un toc ! Comment peux-tu penser "avant, tout allait bien, j'étais beaucoup plus sereine" et nous dire que finalement c'était du pipeau ?! Avant, tu étais toi même, spontanée, et tu étais heureuse. Ca va pas chercher plus loin. Moi, c'est pareil, avant je ne me posais pas de questions. J'aimais les hommes, j'aimais mon copain, j'adorais ma vie avec lui. Et maintenant, je suis parfois convaincue que je me suis mentie à moi même pendant des années. Comme le dit Leobillycat, je déforme mes souvenirs à la lumière de mes angoisses actuelles, alors que je sais pertinemment que plus jeune, je fantasmais sur les hommes, uniquement sur les hommes et que je n'ai jamais eu d'attirance pour les femmes. Pourtant, parfois, j'ai réellement l'impression que je me suis mentie et que je suis lesbienne ou que je n'aime plus mon copain. J'ai réellement l'impression d'être attirée par des femmes et que je n'arriverai plus jamais à être comme avant. Qu'il va falloir que je l'accepte. Dans les pires moments, j'ai réellement l'impression de vouloir être comme ça. J'ai cette petite voix dans ma tête qui tourne en boucle en me disant que c'est ça que je veux, que j'aime ça, et que je serai épanouie comme ça. Sauf que je ne le veux pas, sinon, ça ne me poserait pas de problème de conscience, ça me pourrirait pas la vie comme ça le fait depuis un an et demi. Les tocs, ça remplace le réel, le vécu par du virtuel, par du fantasmatique glauque. On ne sait plus où est la réalité, on est perdus. Et ça nous obsède. Il me semble que tu réponds à tous les critères du toc, le fait que tu prennes tes doutes pour la réalité, c'est vraiment quelque chose qui, pour moi, est lié au toc.

J'espère qu'on arrivera à ce sortir de tout ça. Dans les pires moments, je crois que je n'y arriverai jamais, mais il y a toujours de petites lueurs d'espoir qui reviennent quand la forme revient, que on retrouve un peu d'énergie. Et il faut s'accrocher à ça

[No_answer]

Pauline04 : Oui moi j'ai l'impression d'avoir baissé les bras de m’être résignée etc. . . J'essaie de me faire à cette idée, même si hier je sais qu'on a eu une grosse dispute justement à cause du toc, mais d'autre choses qui n'ont rien à voir avec ce toc, qui me mettaient mal en fait après le toc s'en est mêlé mais bon . . .

Ce toc me donne l'impresion que quelque chose est cassé et que rien ne redeviendra comme avant . . .
J'essaie de me raccrocher à des pensées plus heureuse ais ça me donne l'impression d'essayer de me raccrocher à quelque chose en vain et de me voiler la face. . .

[Soleil_rose]

Salut tout le monde,

Désolée je sais pas vous lire car vos messages sont excessivement longs, trop longs pour moi, je peux pas tout suivre donc pardon de ne pas vous répondre :s
Eventuellement, si vous avez des questions ou des trucs auxquels vous voulez qu'on réponde, mettez-les en gras

Bon, pour ma part, ça peut aller. J'arrive à lâcher les pensées quand elles viennent, c'est cool Ca n'empêche que c'est pas forcément toujours la forme ^^
Pour le moment, je suis excessivement fatiguée (dans une semaine j'ai fini les examens) donc bon, j'attribue mon "manque de ressenti" et mes quelques blocages à ça en partie car je suis pas en état de "bien-être".

J'ai culpabilisé car à la fin de mes examens, je veux un peu profiter avec mes amis, boire un verre avec eux... tout ça et donc je culpabilise de ça, c'est embêtant. Car je ne me vois pas rentrer tout de suite chez chéri puis... voilà. J'ai envie d'être tout le temps avec lui cet été mais pas dès la fin de mon dernier examen. En janvier, j'avais bu un verre avec mes amis et j'étais rentrée tout de suite et il était malade donc bon, ma fin d'examen c'était ça "rester à l'appartement et mon mec est malade". Faut être honnête, c'était pas festif. J'avais l'impression de pas être "récompensée" de tout mon travail et qu'au final, on s'en fichait. Surtout que je sais qu'il va pas forcément vouloir aller boire un verre avec moi, sortir au resto car va peut-être pas ressentir à quel point j'ai BESOIN de souffler. Donc je me dis "autant d'abord en profiter avec les amis" puis le rejoindre.
Vous pensez que je dois culpabiliser ? Ma pensée est normal ?

A part ça, j'ai eu des pensées pas mal relatives aux débuts de notre histoire, des trucs que j'avais jamais eus. Donc j'ai pas creusé et je me suis dit "tu te prends la tête maintenant sur le passé car tu arrives à lâcher prise par rapport au présent" et je sais que c'est vrai. Le toc farfouille partout pour trouver quelque chose.

Sinon, j'ai eu la pensée que je l'idéalisais et que quand je pensais à lui, je le pensais d'une certaine façon alors qu'il n'est pas en vrai comme je l'imagine dans mes pensées. Je suis claire ? lol

Et puis je l'ai vu en vitesse ce matin, un peu toqué en sa présence, c'était chiant :/

Mais ça va, je gère pour la suite

Bonne journée et courage,
Soleil_Rose

P.S. : où sont celeschus, bélou et les autres ?

[No_answer]

Soleil Rose ta pensée est normale et saine !
belou et elle aussi en vacances donc moins présente et cel, pas beaucoup de nouvelles, peut-etre que ça va mieux pour les deux !

[Baird]

J'ai culpabilisé car à la fin de mes examens, je veux un peu profiter avec mes amis, boire un verre avec eux... tout ça et donc je culpabilise de ça, c'est embêtant. Car je ne me vois pas rentrer tout de suite chez chéri puis... voilà. J'ai envie d'être tout le temps avec lui cet été mais pas dès la fin de mon dernier examen. En janvier, j'avais bu un verre avec mes amis et j'étais rentrée tout de suite et il était malade donc bon, ma fin d'examen c'était ça "rester à l'appartement et mon mec est malade". Faut être honnête, c'était pas festif. J'avais l'impression de pas être "récompensée" de tout mon travail et qu'au final, on s'en fichait. Surtout que je sais qu'il va pas forcément vouloir aller boire un verre avec moi, sortir au resto car va peut-être pas ressentir à quel point j'ai BESOIN de souffler. Donc je me dis "autant d'abord en profiter avec les amis" puis le rejoindre.
Vous pensez que je dois culpabiliser ? Ma pensée est normal ?

Il n'y a pas a culpabiliser, bien sur que non. Ta pensée est normale oui. Mais c'est le toc qui te fait culpabiliser, car tu tiens a ton copain etc... Fin j'ai pas les mots actuellement mais, c'est le toc qui fait que tu culpabilise.
Il est normal, de vouloir feter la fin de tes exams avec tes amis. Après je peux comprendre ton comportement de vouloir t'amuser, decompresser. (Moi, je ne ressens pas le besoin de devoir boire un verre avec des amis, ou m'amuser. Je reagis plutot bien à la pression. Fin moi j'aime pas faire la "fete" (Oui je suis pas normal ))
Mais rassure toi, il est tout a fait normal ta reaction et tu as pas a culpabiliser.



Pour ma part, bon je sais qu'on s'en fiche, mais je suis plutot triste, et nostalgique en ce moment. Car au mois d'Aout je demenage à 500km de chez moi. Pour mes etudes, mais aussi, je déménage près de ma copine.
Je suis triste de quitter mes parents, et mon chat (Je suis très attaché aux animaux). Après un peu le reste de la famille mais moins quoi. Puis aussi, bah carrément partir, et me retrouver seul quoi. Ca fait peur. Car je rentrerais pas les week-ends, vu la distance..
Fin voilà. Puis y a le bac là, ça trouble un peu mais pas enormement, je sais que je l'aurais sans soucis, c'est juste le soucis de la mention (Je vise TB).
Qui plus est, ma mère me fait quelque peu de chantage affectif, comme "Le plus beau cadeau, ca serait que tu parte pas" etc..

Ca me fait du bien d'en parler ici, car j'ose pas en parler avec ma copine, ou un proche. Ou un ami. Je suis quelqu'un de très mystérieux. (La preuve si j'avais pas avoué a mes parents y a quelques mois je souffrais de toc depuis 3 ans ils ne l'auraient jamais su), et mes amis, aucuns ne sait que je possède des tocs. Puis j'ai l'impression de me vider en en parler ici.

[Soleil_rose]

Ah mais je suis pas DU TOUT une fêtarde. En deux ans d'université, j'ai encore rien fait ^^ Non en fait j'ai prévu d'accompagner une amie chez le coiffeur, d'aller boire un cocktail, manger un bout avec elle, papoter et peut-être aller 2h au café avec des amis (mais pas dans le but de me bourrer la gueule, j'ai juste envie de d'abord ressentir que les examens sont finis avec mes amis puis ensuite aller là-bas.
En fait l'ambiance sera différente, c'est surtout ça et si je vais de suite chez chéri ben je me dirai "voilà, j'ai bossé pendant 6 semaines et je fais rien de spécial" (car au final aller regarder un film avec chéri c'est pas particulier comme fin d'exams).

Je réagis bien à la pression aussi mais que tu auras découvert les joies de l'université, tu changeras peut-être un peu de comportement lol
Ca fait quand même 6 semaines que je suis dedans et que j'ai pas de vie :p lol

C'est normal que tu sois triste, tu dois avoir peur aussi, c'est un gros changement ! Pour ta mère, c'est chiant, la mienne fait un peu pareil avec moi et c'est assez pénible...
Mais tes études, tu vas t'y faire au changement ! L'université, c'est vraiment un autre esprit, un autre mode de vie. Je parle pas de l'aspect guindaille car moi-même, je ne le connais pas mais tout, tu te responsabilises et c'est vachement cool

Bon je retourne à mon cours de socio ^^

[Baird]

J'avais compris rassure toi que tu n'es pas fétarde.
Pour les études je m'inquiete pas (ce qui peut etre dangereux d'ailleurs). Tiens d'ailleurs, lundi, je debute le bac.

Ce qui me fait un peu peur c'est de partir a 500km quoi, fin je pars pour une fille avec qui je suis depuis 1 an et demi, rien me dit que peut-etre dans 4 mois on sera encore ensemble. Bon après, je doute qu'on va rompre, on s'aime enormement, et pour une fois, je pense avoir trouvé, ma moitié. Donc on verra bien.
Fin c'est positif à la fois, car ça va me responsabiliser.

[Pauline04]

Personnellement, j'avais des parents très protecteurs, une mère poule, qui me faisait culpabiliser de partir. J'avais déjà assisté au départ de mon grand frère et vu les dégâts que ça pouvait causer, donc, j'en ai pris plein la poire. J'en ai bavé, donc, mais quatre ans plus tard, je peux vous dire que ça fait du bien de couper le cordon ! Je me rends compte à présent qu'à un moment donné, on a besoin d'affronter la vie en adulte et de se comporter en adulte face à ses parents. Enfin, parfois, c'est plus dur à vivre pour eux que pour nous, c'est le cas de mes parents. Ils n'ont toujours pas réalisé que je n'avais plus 5 ans... Et d'ailleurs, ça m'aide pas à aller mieux avec mes tocs. Ils m'infantilisent toujours, c'en est étouffant ! Je sais par ailleurs que les moments de rupture dans la vie : études, mariage, premier job etc. sont durs à vivre en termes de stress, c'est normal de se sentir nostalgique, un peu perdu. Mais c'est comme ça qu'on devient autonome et responsable comme le dit Soleil rose.

Pour le reste, je souris quand je lis que vous n'êtes pas des fêtards : moi non plus !! J'aime être pépère, en petit groupe ou seule avec mon copain, avec qui j'ai vraiment vraiment beaucoup d'affinités. Après, fêter la fin des partiels, ça fait du bien et il faut en profiter

Sinon, aujourd'hui, je me suis sentie plutôt bien. Mon épisode de grosse angoisse d'hier est plus ou moins terminé. Mais les pensées intrusives restent présentes. Tout à l'heure, j'étais au ciné, pour voir Le chat du rabbin. C'est sous forme de dessins animés, mais je me suis testée sur tous les personnages féminins. C'est toujours la même chose : les pensées intrusives qui m'envahissent tournent toujours autour de la même image, c'est-à-dire moi, désirant une femme de façon très forte, parfois violente. Je suis totalement prostrée quand ça m'arrive, souvent envie de vomir. Je me sens mal : j'arrive pas à me dire que je pourrais désirer une femme et pourtant, c'est exactement ce que je ressens sous la pression du toc. Je me "vois" dans cet état et ça me donne des sueurs froides. J'ai tellement de mal à l'accepter, à me dire que ça n'est rien, que ça n'est qu'une pensée à la con. Ce sont vraiment des espèces de scenarios horribles, et très forts, tellement forts que j'ai presque l'impression que c'est réel. C'est pareil pour vous ??

[No_answer]

on s'aime enormement, et pour une fois, je pense avoir trouvé, ma moitié. Donc on verra bien.
Fin c'est positif à la fois, car ça va me responsabiliser.

J'aime être pépère, en petit groupe ou seule avec mon copain, avec qui j'ai vraiment vraiment beaucoup d'affinités.

Comme je vous envie de pouvoir dire, ça . . .
Moi j'ai l'impression que rien ne redeviendra comme avant, que j'essaie de me persuader que je l'aime toujours . . .
qu'on ne sera plus aussi complice, aussi foufou. . .
Qu'on a des moments ou on est heureux ou ca va mieux, mais c'est tout . . .
Je suis allée sur des forum ou ils disaient qu'on ne pouvait pas rester avec une personne qui déprime au risque de déprimer à son tour et d'entrer dans un cercle vicieu. J'ai tout de suite pensé à lui et je lui ai fait jurer de me quitter le jour ou il commencerait a déprimer. . .
Je veux pas qu'il soit mal par ma faute. . .

Sinon, moi je ne suis pas une énorme fétarde, la je vais aller en soirée pour le 21 juin, pis les soirées étudiantes c'est pas trop mon truc, j'y suis allé une fois un mec m'a léché le cou, s'est agenouillé pour me dire que j'étais la plus belle fille de la soirée, c'était assez glauque. . . surtout que mon mec n'était pas loin . . .
Je me demande comment il aurait réagi s'il l'avait pris sur le fait . . . Ahaha . . .

Et pauline , moi les scénarios je ne sais plus si je confonds réalité et fiction moi non plus. . .

[Baird]

No_Anwser, ta tristesse du fait qu'on puisse dire qu'on aime notre compagnon/ne, je la reconnais bien.
Moi quand j'avais peur d'etre gay, je me disais "Punaisse j'aimerais bien me dire moi aussi "J'aime les femmes" sans aucun doute.

Ce n'est qu'un toc.

[Bélou]

Hello !

Je viens rapidement, c'est dur de se remettre à lire quand on a arrêté depuis un moment, je m'en excuse, simplement, comme je suis déjà en vacances depuis un moment je passe beaucoup de temps avec mon chéri, du coup je viens pas ici...

Si j'ai bien compris, Soleil_Rose, tu angoisses à l'idée de faire la fête ? Avec des gens, toussa, pour moi aussi c'est angoissant ce genre de trucs, avec et sans mon chéri (avec parce que je me dirais "Et elle, elle est à son goût etc...", sans parce que rigoler avec d'autres mecs me panique car je me dis que je le trompe.), donc je te comprends. Mais après, on peut aps s'arrêter de vivre, on est jeune aujourd'hui, il faut aussi rire et s'amuser, et il n'y a rien de mal à tout cela =)

Baird, c'est une super bonne nouvelle ça, que tu partes, même si c'est vrai que quitter sa famille et ses animaux c'est pas facile ! (je sais de quoi je parle, j'ai 6 chats et une tortue ) Mais vis tes expériences, et si ça casse avec elle, tu n'auras pas de regrets puisque tu y vas pour tes études aussi !!!! Après c'est toujours difficile pour les parents de voir leur enfant partir de la maison, mais si tu sens que c'est le moment pour toi ....

Pour ma part, j'angoisse pas mal, à cause d'un rêve, où je trainais qu'avec des mecs, et embrassait un mec imaginaire (je ne sais plus d'ailleurs, mais je crois qu'il avait l'apparence de mon copain) et je me disais "De toute façon c'est un rêve, alors je peux le tromper !", ça me mets assez mal depuis deux jours, parce que je me dis que si l'occasion se présentait, je le tromperais p-e. Alors que je n'en ai pas envie hein ! Depuis dès qu'un ami me parle je me dis "Tu aimerais p-e le tromper avec lui ?" ou "Tu le trompes là !" c'est débile, mais je pense que c'est parce que j'ai peur de l'infidélité, ou de me cacher que j'aimerais l'être alors que ça me répugne, que j'aime mon copain et que je ne veux personne d'autre. Mais j'arrive pas à me calmer. Demain sûrement.

Je fais un gros bisou à tout le monde, désolé pour les nombreux autres auxquels je n'ai pas répondu :/ J'espère que Celeschus va bien, ça fait un moment qu'on ne l'a plus vue !!

[Pauline04]

Moi, c'est pareil, je peux angoisser sur un simple rêve, alors qu'on ne maîtrise pas nos rêves ! Surtout que si on a tocqué toute journée, il est fort possible que ça poursuive pendant notre sommeil... Cette nuit, j'ai rêvé que je trompais mon copain avec un pote. L'horreur ! J'ai mis du mal à m'en remettre, mais je suis allée à la campagne pour la journée, chez des amis de mon copain. Cela m'a fait du bien. Pourtant, dès que je suis rentrée chez moi, j'ai recommencé à me poser des questions. A un moment, mon copain m'a énervée, pour rien du tout, et là, je me suis imaginée trouvant du plaisir à le tromper. Comme il venait de m'énerver, c'est comme si j'avais pris un malin plaisir à me faire ce film dans ma tête. Pas avec un homme cette fois, mais avec une femme en plus. J'ai cumulé mes deux tocs en même temps ! J'ai eu peur ensuite, peur d'avoir eu envie de ce qui venait de me traverser l'esprit. J'ai pas pu m'empêcher de tout re-disséquer, de tout analyser à nouveau...

Ca vous fait pareil à vous parfois, quand ça va pas avec votre copain/copine ? Quand y a eu une petite dispute ou qqc de ce genre ? Moi, j'ai l'impression que dans ces moments-là, sous l'effet de la colère, je vais retomber dans le toc plus facilement. Et comme je suis en colère contre mon copain, j'ai encore plus l'impression que d'habitude de vouloir ce que j'imagine. C'est pour ça que je parle de malin plaisir. J'ai vraiment l'impression parfois de me complaire dans mes scenarios horribles, qui pourtant ne me font pas plaisir et sont d'une tonalité très sombre (c'est pas comme si je rêvais de ma vie future avec mon copain, nos enfants, du bonheur et tout et tout, non, ça n'est pas joyeux, mais j'ai l'impression d'éprouver une espèce de plaisir malsain et ça me fait très très peur). On en revient à cette pulsion, un peu noire, qui me relance pendant mes tocs.

Enfin bon, à part ça, une chose à retenir de ma journée : le grand air, ça fait du bien. C'est reposant, c'est même fatigant et ça, c'est bon pour nos tocs ! Bon courage à tous pour cette fin de weekend et la semaine qui s'annonce - et je croise les doigts pour Baird : la mention TB, elle est pour toi !

[Bélou]

Ah les rêves, c'est vraiment chiant, parce qu'on se dit "Si j'en rêve, c'est p-e que j'en ai envie ? Alors que les rêves c'est souvent nos peurs aussi qui sont mises en action, pas que nos envies !
Personnellement, les disputes c'est souvent à cause du TOC, donc en général ça l'alimente aussi, mais sur d'autres sujets. Je n'ai pas cette pulsion noire je crois, de vengeance. Moi c'est plus de suite "Je veux en finir, par tous les moyens.", après je pense qu'on réagit tous différemment à la même situation !
Après, moi aussi parfois mon Toc se met juste en "Pause" et revient après une activité, une sortie et c'est repartie, je ré-analyse ceci et cela, et des pensées tordues viennent et partent... Oh phoque !


Ouep Baird, j'ai oublié de te le dire aussi : M.... ! pour ton bac ! (quelle filière ? )
Y-en a-t-il aux rattrapages ou autres ?

[No_answer]

Les rêves, oui c'est bien chiant.
Pis pareil que toi Bélou, quand je parle à un autre mec je me dis souvent tiens, t'as envie de sortir avec lui peut-être . . .
C'est très chiant.
Et puis pauline moi quand je m'enerve j'ai envie de tout envoyer valser, je suis plutôt du genre qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Mais bon. . . Ca a toujours été comme ça avec lui. Il sait à qui il a affaire et qu'il ne faut pas m’énerver.

Je viens de me mettre un coup de stress toute seule : J'ai lu sur internet que les bébé couples n'avaient aucun avenir . . .
En gros que ceux qui se sont mis en ménage tot, n'avait aucun, mais alors aucun avenir. . .Que ça devenait du copinage plus que de l'amour. . .
Gros coup de stress. . .

[Soleil_rose]

No_Answer, "bébé couple" ce sont les jeunes de 15-16 ans qui vivent ensemble chez leurs parents dès le début de l'histoire. Tu n'es pas concernée.
A 20 ans, t'as une mentalité différente de tes 16 ans

Ne crois pas ces articles. Déjà parce que tu n'es pas concernée par le terme "bébé couple". Ensuite, parce que ces articles ne sont pas la vérité absolue et qu'il existe autant de parcours amoureux que d'individus.

Les bébés couples ce sont surtout ceux qui à 16 ans, vivent ensemble chez les parents, sont à l'école ensemble... et dans de nombreux cas ça échoue car ils ne développent pas leur propre identité, s'étouffent mutuellement, font tout trop vite... mais encore une fois, c'est pas ton/notre cas

[Bélou]

No_answer, je suis pareil, sale caractère, tête dure et têtue, et le pire, c'est que lui aussi, alors je te dis pas =D Mais bon, ça a ses avantages aussi hein !
C'est marrant parce que j'ai toujours traîné avec des mecs, et là je culpabilise, j'avoue que j'ai du mal à trainer avec des nanas, surtout quand ça se mets à jaser sur les autres... :/ Mais allez, faut pas qu'on se taraude l'esprit avec ces pensées hein !
Pis je suis d'accord avec Soleil, déjà beaucoup de choses sur le net sont fausses, et en plus, ce sont des généralités qu'on fait, comme "Toutes les blondes sont bêtes etc...", donc faut pas le prendre pour soi ! Le parcours d'une histoire est propre à chacun, et non à des pseudo-vérité =)

[No_answer]

No_answer, je suis pareil, sale caractère, tête dure et têtue, et le pire, c'est que lui aussi, alors je te dis pas =D Mais bon, ça a ses avantages aussi hein !
C'est marrant parce que j'ai toujours traîné avec des mecs, et là je culpabilise, j'avoue que j'ai du mal à trainer avec des nanas, surtout quand ça se mets à jaser sur les autres... :/

Moi pareil, j'aime pas traîner avec les filles parce qu'elles ne font que jaser sur les autres, c'set simple, je déteste ça. . .

No_Answer, "bébé couple" ce sont les jeunes de 15-16 ans qui vivent ensemble chez leurs parents dès le début de l'histoire. Tu n'es pas concernée.
A 20 ans, t'as une mentalité différente de tes 16 ans

Oui enfin, comme c'est mon premier vrai amour je me sentais concerné vu que j'ai commencé à sortir avec lui quand j'avais 18 ans.

Mais vous avez raisons

[Soleil_rose]

T'en fais pas, ça ne signifie rien. Ma tante et mon oncle sont ensemble depuis toujours (elle l'a connu à 17 ans) et ils ont pas mal d'années derrière eux. Ca ne signifie rien
Personnellement je suis avec chéri depuis que j'ai 16 ans. Ma belle-soeur a rencontré mon frère au même âge et ils vont fêter leurs 7 ans bientôt. Alors tu vois...

[No_answer]

Oui je vois je pense que ça dépends surtout de la maturité des jeunes. Et puis dans mon entourage je connais des personnes qui sont ensembles depuis qu'elles ont 14 ans. Ça fait déjà 5 ans qu'ils sont ensembles, et tout roule à première vue.
J'ai envie de voir mon nounours !

EDIT :
Depuis hier je toque parce qu'il me parle de pc, de composants informatique et ça m’intéresse pas forcement . . .
Et du coup je me dis que si je n'arrive pas à m’intéresser à ce qu'il fait c'est que je ne l'aime pas . . .
Mais bon, même au début , je n'aimais pas trop l'entendre parler d'informatique c'est du chinois pour moi.