Depuis toute petite, j'ai rarement le sourire

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monpetitmonde
Messages : 114
Enregistré le : dimanche 05 avril 2009 13:04

Depuis toute petite, j'ai rarement le sourire

Message par monpetitmonde »

J'ai 17ans et depuis toute petite j'ai rarement le sourir, rarement contente heureuse.
Quand j'étais petite je me métais très souvent a pleurée comme sa car j'en avait besoin. Je ne c'est toujours pourquoi.
Depuis longtemps je m'otomutile que je soi ché moi ou au lycé je le fais.
je présise je suis dislecsique assez grave et etre en primaire au collège au lycé a été une torture.
La scolarité ma fais que de m'enfoncer et me détruire ...
Depuis l age de 13 ans jai des idées noir, depuis 13ans je m'otomutiles,plus je grandi plus sa évolu les coupures.
Et ce qui es bizare c'est que j'ai éssaier d'arreter de m'otomutiler et rien ni fai, je suis comme obligé de le faire,quand tou va bien, je le fais je recommence.C'est un BESOIN de le faire,c'est très bizare
J ai vu plein de psychiatre,mais sa me soul a chaque foi donc j'arete.
Mon copain me di quil faut que j'arete d'etre morbide car sa lui fou la trouille,que je soi HEUREUSE. c est tres dur de l'etre. A chaque foi que y un moment super ba je me met a pleurée et je repence a mon couzin qui est endicapé et qui vie pas comme les autre. Je me di que je mérite pas d'etre heureuse.
Ver les 13ans la relation que je tennai avec mon pere étais très dur,car a chaque foi j'éssaier d'etre bien dans ma tete ou dans mon corp il cassai tou, a croire qu'il ne suportai pas que je soi heureuse.J en né parler a ma mere de sa elle c'est meme pas quoi me répondre.
Ce qui est bizare car quand je suis bien je suis obligé des me coupé le bras,comme sa a chaque foi que je frote mes coupures je me di : bien fais.
c'est trop bizare
je c'est plus quoi faire
Et en quelque mois j'aime plus etre avec les autres (jai jamais aimer) mais la sa c'est accentuer mais vraiment.(jai jamais eu d'ami)Quand je suis au lycé je met mes écouteurs la musique a fond et quand sa me fais mal au timpan je me di : bien fais et je me met dans mon coin. La comme j'en parle j'ai l'imprétion de m'otodétruire
Et j'engoisse vraiment beaucoup plus que avent,j'ai peur pour mon frere de 13ans ou 14 je c'est plus, peur qu'il se face enlever,torturé,violer ou tué,et la bientot il par en angleterre et jai vraiment peur.je vais etre hyper stressé quand il partira je ne vais pas dormir .Et c'est pour tou comme sa.
Et j'ai l'imprétion que j'aime pleuré j'aime etre triste c'est bizarre
La vous savez beaucoup de chose a propo de moi, c'est la 1er foi que j'en parle comme sa.

si vous arivez en déduire quel que chose dites le.
je ne c'est plus quoi pensser,je suis perdue.
j'en n'es pas parler a mes parents il ne savent rien de sa,il ont d'otre soucis, je ne vais pas leur faire du mouront en plus.
un peut d'aide,d'avie svp
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claudine
Membre d'honneur
Messages : 6742
Enregistré le : mardi 05 décembre 2006 19:30

Message par claudine »

monpetitmonde,

Cette souffrance que tu vis au quotidien doit être très lourde à supporter

Même si tu n'arrives pas à envisager une psychothérapie, c'est pourtant la solution pour que tu arrives à comprendre pourquoi tu souffres et pourquoi tu as besoin de te mutiler. C'est aussi la solution pour avoir une aide vraiment efficace pour aller mieux

Tu n'as certainement pas rencontré le bon psy, celui avec lequel tu vas être en confiance. Ce n'est pas une raison pour abandonner l'idée de te soigner
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monpetitmonde
Messages : 114
Enregistré le : dimanche 05 avril 2009 13:04

Message par monpetitmonde »

c'est genti de m'avoir répondu
sa me touche.
j'ai pas trop envie de revoir un psychiatre car j'ai peur de déballer mon sac et que sa n'arenge rien.
La derniere spychiatre que j'ai vue,elle rigolais a achaque foi que je parlais, alors que c'étais hyper cerrieux ce que je disai.
Et je me suis di tempis, n'y retourne pas
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choucoulate
Messages : 37
Enregistré le : samedi 07 mars 2009 17:29

Message par choucoulate »

Salut!
Je me reconnais pas mal sur certain point.
Comme toi j'ai l'impression de ne jamais avoir été heureuse, et je ressens le besoin le "besoin" de me faire du mal; ça me donne l'impression de m'autodétruire à petit feu et ça me conviens au fond paske j'suis bien trop faible pour en finir malgré que j'en ai plus qu'envi.
Jusque il y a un moi j'avais un petit ami, au départ c'était juste un pote puis quand il m'a vue m'enfoncé vraiment m'enfoncer il a essayé de m'aider et m'a tendu sa main... on est ensuite sortis ensemble et pourtant mème là je n'arrivais pas à ètre comblé, c'est comme s'il me manquait je n'méritais pas ce bonheure. Bien sur dans ses bras j'étais bien et il arrivait à me faire oublier mes problèmes avec mon père (tiens encore un point commun) mais dès que j'me retrouvais seule chez moi mes idées noires me revenaient. J'ai aussi voulu arrèter l'automutilation, j'lui avais promis de n'plus jamais retoucher à mes bras, pourtant je l'ai fais 2fois, à la 2è il a faillit me quitter et me laissait une dernière chance. Il ne m'a jamais dis que j'lui fesais peur (je crois que j'aurai préféré), à la place il me disait juste faut qu'tu te donnes les moyens de t'en sortir, sinon viens pas te plaindre, pis ça t'sers à rien de t'faire encore plus mal c'est complètement stupide" etc enfin tu vois l'genre de phrase qui finalement mème si elles viennent de la seule personne qui nous fais tenir en vie bah justement elle nous blesse d'autant plus et nous rend encore plus mal. Finalement il en a eu marre et à préféré abondonner, il n'a jamais su me comprendre et aujourd'hui encore je m'dis que si j'aurai su ètre une fille comme les autres il serait encore là. Depuis il m'a rayé de sa vie (alors qu'il avait été le 1è à m'dire "on reste ami") et j'suis contrainte de l'revoir lors de sortis entre potes puisqu'il fait partis de la mème band. Je continue mon petit bout d'chemin toute seule, en continuant à accumuler toute la haine que j'ai envers mon père (et presque tout le monde), j'essaie de survivre et j'ai l'impression de me battre en permanence contre moi mème pour ne pas craqué et en finir mème si ce n'est pas l'envie qui me manque. J'ai presque aucun souvenirs de mon enfance et sans doute aucun avenir, j'ai perdu tous mes rèves et toute trace d'ambition. Aujourd'hui je suis une fille sans doute cinglé qu'à le mal de vivre et qui se sent étrangère à tout c'qui l'entoure comme si elle n'était pas à sa place.

Désolé du racontage de vie, c'est juste que ton post m'as inspirer du fait que je m'reconnaisse pas mal en toi et qu'on ai presque le mème age.
En tout cas j'espère que toi de ton coté ça va pas trop mal et que t'as toujours des personnes sur qui compter.
Si tu veux parler je suis là.
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